Ma dernière devinette, parue en fin de ce billet, est restée sans réponse.
Mise à jour à 11h40 : Un intrus avait trouvé la bonne réponse! Cf. son premier commentaire et mes excuses pour cet oubli.
Il fallait trouver le nom de Jean Parédès (1914 – 1998 ).
Parédès est le pluriel de paréde, adaptation française de l’ancien occitan pareda, « entourer de murs ». Ce terme devait sans doute désigner un domaine clos de murs.
On reconnaît dans pareda le latin populaire *paretem, du classique parietem, accusatif de paries, «mur», qui a donné notre « paroi ».
Eh bien! oui, « mur » a des synonymes dont « paroi » !
Le radical « pared -» est aussi connu en catalan, en espagnol, en portugais, etc.
Les indices :
Marisa Paredes est une actrice espagnole bien connue des amateurs du cinéma d’Almodovar.
Les présidents : Mariano Paredes (1800-1856), président du Guatemala et Mariano Paredes (1797-1849), président du Mexique.
Les toponymes : cf. wiki
Et, pour finir, les dessins de la grotte de Lascaux constituent un exemple majeur de l’art pariétal.
P.S. jubilatoire : enfin une devinette non résolue ! ( cf. la màj un peu plus haut)
P.P.S : sans doute un nouveau billet — et une nouvelle devinette — à venir en fin de journée. Patience ! J’ai aussi une daube à finir, puis à manger et une bouteille à choisir, puis à boire…
P.S. jubilatoire : enfin une devinette non résolue ! écrivez-vous, leveto
Or, il me souvient d’un échange :
« Eh bien, voilà! Vous y êtes!
Et, une fois de plus, le premier !
Bravo !
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Message du : 23/09/2016 23:11
De : « Moi »
A : « leveto »
Copie à :
Sujet : Parois
Un peu tard, sans doute, mais je me suis attardé à une fiction télévisée
: ne s’agirait-il pas de Jean Parédès, murs en espagnol, membre de la
compagnie Renaud-Barrault ?
Bien à vous dans l’attente de la prise de cigare de TRS
Un Intrus »
Qui perd la mémoire ?
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Ah! Mille excuses, Un intrus!
Je note en général sur papier les réponses qui me sont données et j’ai omis de le faire pour ce coup-là …
Je rectifie mon entame de billet, dès que j’aurai fini de me couvrir de cendres!
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Les paroles
La chanson
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Non leveto, pas de cendres avec la daube, cela crisserait amèrement sous la dent ! Je vous souhaite plutôt un excellent appétit pour attaquer votre rata. Votre omission, et je me permets d’exprimer ceci au nom de l’ensemble des fidèles de votre blog, nous nous accordons à l’expliquer par votre trop plein d’activités. Prenez donc bien le temps de déguster votre bonne bouteille, avec toute l’immodération que requiert un cru de qualité. Santé !
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►Un intrus
je vous remercie pour votre indulgence.
Il est un peu tard maintenant pour boire un verre à votre santé ( le Crozes-Hermitage La Guiraude 2012 n’a pas survécu au repas …), mais je vous promets que le premier verre* de dimanche prochain vous sera dédié.
* Dites-moi si vous avez une préférence ou une aversion particulières, ça m’aidera pour le choix du menu!
►Le brosseur :
Joli! Je ne connaissais pas cette chanteuse, plutôt dans mon goût. Mais j’apprends qu’elle est morte en 2010 … Pfff! Tout ce à côté de quoi on passe!
Tempus fugit, n’est-ce pas ?
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Rhôô, leveto, je suis pourtant sûr d’avoir parlé de Lhasa sur LSP il y a quelques années *. En fait, exactement lors de sa mort, car quelqu’un (Dominique ?) avait parlé de celle du dessinateur Tibet (en ironisant sans doute sur lui, car je sais que le Champignacien ne l’appréciait guère et moquait sa façon de dessiner les carreaux des chemises des personnages, toujours à la règle quelle que soit la forme prise par la chemise), et je me souviens avoir tenté ce rapprochement noir : mort en deux jours de Lhasa et de Tibet, si j’étais le Dalaï-Lama je me méfierais…
J’avoue être particulièrement touché quand elle chante en français : son timbre chaud et atypique frappe bien plus l’oreille que dans ses chansons en castillan. En fait, c’est marrant, en castillan elle est une chanteuse intéressante ; en français elle devient carrément unique, étonnante, bouleversante.
Un exemple, et un autre.
Bon, sinon j’avais cherché du côté du TNP, alors qu’il fallait penser à la Compagnie Renaud-Barrault.
* Mais je ne vous reproche bien sûr pas de ne pas être allé vous renseigner sur elle (ou cliqué sur mon lien, si j’en avais mis un comme c’est probable) : s’il fallait cliquer sur tous les liens et dérouler toutes les références musicales, picturales et littéraires des commentaires de LSP, il faudrait à certaines périodes en faire un travail à plein temps…
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Mazette, bel hédonisme dominical chez leveto autour de la daube : rien qu’un « petit » vin d’excellente tenue aujourd’hui. Espérons qu’il a été à la hauteur de vos attentes (ô, le moment de la délicate incertitude et des projections gourmandes au moment du choix dans la cave !).
Puisque vous nous conviez à trinquer à distance lors du prochain dimanche – si bien sûr vous n’êtes pas de garde – je me permettrais de vous suggérer un champagne à l’apéritif. Pour le prix d’un flacon de votre La Guiraude, on en trouve d’excellents. Pour ma part, je les préfère secs, un peu minéraux, mais c’est chacun son goût. À déguster en bonne compagnie : en deux gorgées, les langues se délient et la cordialité s’installe. De surcroît, le champagne s’accommode à merveille avec maints mets très simples. Évidemment pas la daube provençale, mais une jolie sole peut faire l’affaire si peu qu’un rayon de soleil automnal éclaire la table dans le jardin.
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Ah, ben je viens de retrouver le commentaire de rapprochement entre la mort de Lhasa et celle de l’auteur de BD Tibet… et il avait été posté ici même, et non pas sur LSP !
Dominique était bien impliqué dans l’échange, mais en fait c’est carrément lui qui avait cité Lhasa, et moi qui avait rajouté Tibet (tout en partageant son chagrin concernant cette chanteuse remarquable). C’était donc un peu le monde à l’envers, puisque le Champignacien parlait bien plus souvent de BD que de musique, et moi l’inverse — habituellement. Mais aucun de nous n’avait ajouté de lien. Grâce à TRS aujourd’hui, c’est réparé.
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►Jacques C.
J’ai la mémoire qui flanche, comme chantait l’autre, ne m’en veuillez pas trop!
Je n’ai pas une âme d’archiviste, n’est pas MiniPhasme qui veut (ah ah !)
►Un intrus :
Ma compagne vous suivra sans problème sur un champagne, qu’elle goûte autant à l’apéritif qu’en accompagnement complet du repas ( notamment de la choucroute traditionnelle de son anniversaire ). Je suis, pour ma part, moins amateur du pétillant ( sauf pour les bières…). Mais, respectueux de mon engagement, je vous promets de sabler le champagne en pensant à vous dimanche prochain.
On m’a offert récemment un jeune champagne qui devrait accompagner excellemment une andouillette. On va y réfléchir…
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►Jacques C
Waouh!
Le temps que j’écrive ma réponse et voilà que vous prenez un coup d’avance!
Échec et mat. Je n’ai rien à ajouter sur ce coup-là. *
* Ah! Au fait, comment il s’appelait, l’autre, là, Alois Machin ?
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Avec l’andouillette, préférer la bière, svp. Le champagne n’est pas un pétillant ! Buvez donc ce que bon vous semble, votre amie – plus raffinée – et vous. Mais en pensant à ceux qui ont retrouvé le chemin de votre délicieux blog.
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Comment ça, le champagne n’est pas pétillant ? C’est pourtant à ça qu’on le reconnait !
Ceci dit, « votre délicieux blog » a touché sa cible. Merci.
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Ce sont eux qui vont nous initier à leurs différences et nous apprendre à cerner leur univers. Nuances de blanc, jaune ou rose, parfums de fruits, d’épices ou de fleurs, goûts subtils, délicats, puissants… jusqu’à leur pétillante, les Champagnes s’expriment.
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Pas de l’effervescence tout de même.
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@ leveto :
Oh non, pas vraiment de notion « d’échec et mat » dans tout ça, car je ne vois nulle « victoire » dans le fait d’avoir réussi à retrouver l’échange de 2010 (sans avoir la dextérité et les probables astuces fines de l’insecte, j’ai tout simplement tapé quelques mots dans google). Et même s’il est amusant que l’échange se soit déroulé ici-même, personne ne pourrait vous reprocher de ne pas avoir mémorisé et exploré toutes les références à des artistes qui parsèment nos discussions !
J’avoue avec confusion ne pas comprendre la référence à un « Alois ». Il est probable que je m’exclamerai « Mais c’est bien sûr ! » lorsque vous m’aurez éclairé, mais je suis pour l’instant dans le brouillard.
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►Jacques C.
Ça y est, ça me revient! Aloïs … Alzheimer, bien sûr!
( c’était de l’humour … façon Franquin)
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Ah, j’ignorais son prénom * ! Désolé… et en effet, maintenant que je le connais, « mais c’est bien sûr ! ».
* Ou alors je l’ai oublié.
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