Les indices du mercredi en avance

Avec quelques heures d’avance sur le programme, je vous livre des indices qui devraient vous aider à résoudre ma dernière devinette, ce qu’Un Intrus a déjà fait.

  • Un peu d’Histoire : au XIXè siècle, une révolution, à laquelle on a donné un nom qui rappelle celle « des sans-culottes », aboutit dans cette région à l’auto-proclamation d’une République indépendante. Un de ses buts principaux était de s’approprier les richesses agricoles abandonnées-là par les premiers colons et dont le commerce était fort lucratif. Le pouvoir central mit fin à l’aventure après une dizaine d’années de guerre.
  • Un peu de géographie : beaucoup plus au nord mais toujours sur le même continent, on trouve un hydronyme portant dans la langue d’autres colons le nom des oiseaux dont il est question dans une des étymologies possibles de l’hydronyme à trouver. Ce nom a malgré tout été conservé plus tard par d’autres colons pour nommer une ville fondée sur ses rives.
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32 commentaires sur “Les indices du mercredi en avance

  1. Salut l’Intrus,

    Une fois encore, votre perspicacité vous aura propulsé vers la gloire et je me demande bien à quoi vous êtes dopé.
    Moi, qui n’use pas de substances douteuses, je n’ai fait que tourner en rond un moment avant de me dire qu’il serait peu charitable de vous laisser ainsi, l’Intrus, dans la vilaine oisiveté, cette mère de tous les vices.

    Aussi, pour vous occuper un peu, je vous propose un moment futile car j’ai grand souci de vous… et je sais qu’un roi Intrus sans divertissement est un homme plein de misère.

    J’ai hésité entre Giono (avec M.V. dans le Trièves) et la noble figure de TRS, à Machincourt.
    Pour de triviales raisons d’impécuniosité rapport aux frais d’affranchissement, il m’a fallu choisir.

    Voir envoi Chronopost qui suit… en principe.

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  2. La vie trépidante de TRS, adepte de «la Jeune science» et amateur d’extravagances

    Aujourd’hui, il vous fera découvrir sa nouvelle vocation, en l’exprimant à la simple 1ère personne du singulier du présent parce que, et c’est pas pour dire… mais la seconde du pluriel du passé simple, ça indigestionne grave!

    ……….

    Après ma collection d’hydronymes sujets à variation subite selon les entités administratives traversées, j’entame maintenant une collection de binômes urbanisés, limitrophes et cohérents, qui montrent la même graphie tandis qu’ils appartiennent à des départements, des provinces, des états, des nations ou des pays différents.
    En quelque sorte, des localités siamoises ayant leur administration distincte et réparties chacune au sein d’un territoire qui lui est propre.

    Si ce n’est pas clair pour vous, voici un exemple :

    Comines a son maire et Comines a son bourgmestre… selon que l’on est en France ou en Belgique. Et la Lys n’interdit pas les réjouissances communes et franco-belges lors de la Fête des louches.
    …….
    Et voilà qu’en chinant sur Internet, j’ai trouvé (à bas prix) une pièce exceptionnelle, une véritable rareté.
    Comme vous allez pouvoir en juger…

    Elle répond en tous points à mes critères sévères de collectage à ceci près qu’elle offre un caractère supplémentaire, une pure curiosité de formation toponymique.
    Il s’agit d’un mot-valise qui réunit en deux seules syllabes la première de l’endroit X et la première de l’endroit Y, sachant que X et Y ont chacun leur identité politique et des limites parfaitement cartographiées.
    Une sorte de concentré d’apocopes… en 6 lettres seulement, trois plus trois.

    Indice en forme de précision : – Si la Lys sert de limite séparative (et de frontière) entre les deux Comines mitoyennes, ici il ne vous faudra pas chercher un cours d’eau complaisant mais plutôt – comme j’aime que ça aille « very speedy et tchou-tchou TGV » – quelque railroad track établi hors de France.

    ______________

    Un indice en chanson ?… Vous voudriez donc me faire parler davantage ?… Et puis quoi encore ?… me faire cracher le morceau, tant que vous y êtes !
    Et ben non, mon cochon !… Tant que je ne passerai pas entre les mains de la Gestapo du Vaucluse, ma devise restera :

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  3. Vous n’avez pas la berlue, le Brosseur.
    Un moment, j’ai vu mon commentaire innocent sur cet écran que j’ai…
    Et puis maintenant, je ne peux que constater que cette preuve de charité à l’égard de mon prochain (alias l’Intrus) vanished tout soudain : -Pfuitttt !

    Il y aurait beaucoup à dire sur l’état des services postaux du Vaucluse, sur leur délabrement.
    Mais c’est promis: – Dès que je serai démocratiquement élu « Maître du Monde et de la PACA réunis », j’y mettrai bon ordre!
    Et dès à présent, je mets en place une cellule (avec devenir opérationnel), attachée à mon cabinet noir, laquelle disposera des facilités du « pour ordre » et du « laisser-passer »dont elle usera avec la meilleure libéralité et toute l’efficience utile.

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  4. TRS

    J’ai écrit, il y a plus d’un lustre, quelques billets à propos de ce que j’ai appelé des « toponymes fabriqués ». Vous pouvez les atteindre en tapant « toponymes fabriqués » dans la case « rechercher » en haut à droite.

    J’ai bien retrouvé un village avec un chemin de fer, au Canada, mais il s’agit de la réunion de trois villages réunis sous le nom de Kenora.

    Pour le vôtre, à deux syllabes, j’attends ce soir pour m’y mettre sérieusement — à moins que quelqu’un ne me devance.

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  5. Avec toutes mes excuses, TRS, je ne comprends pas l’énoncé de votre devinette du jour.
    Qui sont X et T si, selon votre critère de départ X=Y ?
    J’ai raté une marche ?

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  6. > Leveto*,

    Oui, vraisemblablement, cet unique toponyme valant pour deux localités distinctes mais si intimement voisines qu’elles en sont mitoyennes pourrait entrer dans votre catégorie « topo inventés » mais il n’échappe pas à la contrainte sévère de s’épanouir de part et d’autre d’une frontière, d’une limite administrative clairement établie.

    En outre, il ne s’agit pas d’une façon d’acronyme comme vous disiez pour Kenora mais bien d’un mot-valise avec collage de deux syllabes apocopes.

    J’ajoute que ces deux localités ont reçu leur petit nom de baptême – et donc le même – à la même époque et selon la volonté de leurs parentèles respectives.

    > L’Intrus,

    Pour vous représenter clairement X et Y, imaginez (concernant Comines) que X représente la France et que, pour ce qui est de Comines, Y représente la Belgique.
    Un peu comme si ces Comines et Comines s’étaient appelées Franbel et Franbel.

    _____________

    * Votre indice avec oboïste n’a rien fait qu’à me ramener chez Dylan : I’m a poor lonesome hobo(ïste ?)

    Et aussi chez Julie Driscoll, une si jolie fille qui en avait fait une reprise contestable… Vous souvenez-vous d’elle ?

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  7. TRS

    Dans le genre de votre toponyme, j’ai en stock Mexicali et Calexico de part et d’autre de la frontière entre Californie et Mexique ou Texarkana entre le Texas et l’Arkansas.
    Mais tout cela compte plus de deux syllabes …

    P.S pour le hautbois pensez plutôt à son son.
    (Et, oui, je me souviens de Julie Driscoll.)

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  8. le brosseur, un intrus

    Qu’est-ce qui vous fait dire que X=Y ? Je ne vois rien dans l’énoncé qui aille dans ce sens.
    Il s’agit de prendre la première syllabe de X et de la faire suivre de la première syllabe de Y, « sachant que X et Y ont chacun leur identité politique et des limites parfaitement cartographiées», soit deux États, deux régions, deux départements, etc.

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  9. J’avais mal compris et confondu « endroits » (cad États, régions, départements) et le toponyme recherché commun à deux localités siamoises.

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  10. > Leveto*,

    Oui, Mexicali et Calexico pourraient faire l’affaire si une ligne de chemin de fer historique faisait doublon avec la frontière et si, en 6 lettres identiques et alignées dans le même ordre, les deux toponymes présentaient la même allure.
    Ce n’est pas le cas.

    > Le Brosseur,
    X n’est vraiment pas égal à Y… tout comme le Québec n’est pas égal à la Saskatchewan. Qu’allez-vous imaginer ?
    __________________

    * Pour le hautbois pensez plutôt à son son, me dites-vous.

    OK, mais « son son » ne me dit rien de particulier… tandis que Saint-Samson-la-Poterie (Oise) et Hautbos (Oise) oui.
    Et puis, à peine la Toussaint passée, il me faudrait déjà penser à la Noël, avec ces hautbois qui ne font rien qu’à jouer quand les musettes, harmoniques avec leurs bourdons en modal, savent résonner plein pot :

    Bon d’accord, on pourra me reprocher de ne donner à entendre ici ni hautbois ni musettes… mais j’aime tant Annie Lennox :

    Je l’aime tant que parfois j’ai l’impression qu’elle me réclame.

    Mais bon, après ce moment d’érotomanie passagère, il me reste à vous proposer un slow de l’Eurovision 1965, évoqué plus haut et, comme il se doit, pourvu d’un indice violent.
    – Vous dansez, jeune homme ?

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  11. Indice du samedi

    Puisque le concours Eurovision 1965 ne semble pas avoir produit l’effet escompté, nous passerons par la piste cinéma. Avec un indice genre Sinatra pour Hoboken.
    Donc, accrochez-vous :

    Dans l’une de ces deux villes homonymes est né un type qui a eu une certaine importance dans l’industrie du spectacle aux USA : producteur, scénariste, réalisateur, dialoguiste… etc. Pour le théâtre, le cinéma et la radio aussi.
    Sans avoir réellement eu une carrière de comédien pour de vrai, il a quand même fait l’acteur dans un film particulièrement célébrissime où il tenait un rôle essentiel quant à l’intrigue, une sorte de fil conducteur.
    Avec ceci de très particulier : on ne le montre jamais vraiment. Pas de gros plan sur son visage. Il apparaît généralement vu de dos et, lorsqu’il lui arrive de figurer de face ou de profil dans un plan d’ensemble, c’est alors dans une sorte de pénombre qui suffit à rendre ses traits indistincts.
    C’est sa maquilleuse qui a dû être ravie !

    J’ajoute que la musique de ce film a été signée par un compositeur que j’ai eu l’occasion d’évoquer ici. Tout comme j’ai déjà évoqué le réalisateur, mais c’était alors pour une tout autre affaire.
    __________________

    Résumé des éléments disponibles:

    Deux villes limitrophes, réparties de part et d’autre de la frontière qui sépare les deux états X et Y.
    Chacune a son maire et son administration propre.
    Elles ont en commun leur graphie qui tient en six lettres : 3 pour la première syllabe de X et 3 autres pour celle de Y.
    Elles ont été fondées à la même époque pour des raisons ferroviaires.

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  12. 5- « beaucoup plus au nord mais toujours sur le même continent, on trouve un hydronyme portant dans la langue d’autres colons le nom des oiseaux dont il est question dans une des étymologies possibles de l’hydronyme à trouver.  »

    Les cinq continents sont au nombre de quatre dont les trois principaux sont les deux suivants : l’Amérique.

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  13. Enfin une devinette restée « inviolée »… Faut dire que, connaissant l’Intrus, elle avait reçu consigne de ne pas se montrer sans sa ceinture de chasteté.

    Le DELAWARE est un état des USA.
    Le MARYLAND aussi.

    Pour des histoires d’arrangements ferroviaires entre amis, il fut décidé d’implanter une ville de chaque côté de la frontière.
    Ce furent DELmar et DelMAR

    The Town of Delmar was founded in October 1859 with the extension of the Delaware Railroad to the southern boundary of Delaware. The Transpeninsular Line was responsible for the founding of this unique bi-state town because the Charter of the Delaware Railroad Company permitted only the building of a railroad within the State of Delaware and the charter of the corresponding railroad company in Maryland permitted only the laying of railroad track within the State of Maryland. Thus, in 1859, the two respective railroads met and the Town of Delmar was born. The name of Delmar was derived for this railroad center from the states whose line it straddles – DELaware and MARyland.
    ________________

    Les indices ?…
    – Dans un ordre différent de répartition des syllabes, les deux localités auraient été nommées MARDEL, comme Guy, un chanteur des sixties.

    – William Alland est né à l’un des Delmar, celui du Delaware. Il a tenu le rôle fameux du journaliste d’investigation qui mène une enquête sur la vie de Charles Foster Kane, pour tenter d’éclaircir le mystère Rosebud.

    – Accessoirement et rapport au billet suivant, celui qui cause de canards lacustres, il a produit ce film étonnant : Creature from the Black Lagoon

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  14. TRS

    Mille bravos!
    Je n’ai pas eu autant de temps* que je le souhaitais pour résoudre votre devinette, mais je ne suis pas sûr que plus de temps m’aurait suffi à y parvenir.

    * JSP et les hêtres ( billet à suivre) m’ont occupé une bonne partie de la journée, comme le lapin à la moutarde de ce midi avec son chinon obligatoire.

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  15. L’Intrus et Leveto,

    Vos applaudissements et bravos me font chaud au cœur… un peu moins pourtant qu’une livraison, assurée et financée par vos soins, de 3.000 litres de fuel domestique. Ce qui correspond à ma consommation ordinaire et annuelle en énergie fossile… tandis que celle de bourbon, bien que considérable, est encore largement en deçà.

    S’il faut parler bref et boustifaille, Leveto, votre lapin à la moutarde ne valait sans doute pas la blanquette que ma mère m’a proposée ce midi. Cette vieille carne, et je parle bien là de ma mère, conserve un savoir-faire enviable.
    Mais revenons-en un moment à l’art délicat de la devinette à caractère toponymique… tant qu’elle évite des contrées infréquentables où l’on cause l’estonien, le portos, l’espingoin et autres baragoins impraticables.
    Et il se trouve que j’ai, dans un congélateur en état, une étonnante occurrence de fantaisie toponymique, garantie made in France et sobrement cuisinée.
    Elle présente, faute de hêtres* à venir, tous les charmes de la cuisine simple, ceux de l’historicité populaire… mais aussi l’extravagance de la rencontre d’un mets ordinaire, servi en auberge, avec un animal zoologique incompatible et inadéquat en de telles conditions de culinarité, en de telles terres honnêtes… et qui aurait suffi, ce bestiau, à fournir semble-t-il, son étymologie au patelin… Ceci possiblement selon Nègre, un homme d’église qui ne buvait sans doute pas que du vin de messe.

    Mais baste… et puisque le Brosseur, malgré la futilité de ses interventions éparpillées, se manifeste plaisamment, je me dois de lui ajouter ceci, en off :

    – Un jour d’il y a longtemps, j’étais en bonne compagnie avec un Québécois ami qui savait ce que consommer au bar veut dire.
    Il avait aussi le sens du commerce et a su négocier son blouson pourri d’imbibé en le garantissant « Made in antilope du Canada »… Véridique, épisode parfaitement véridique et datant de bien avant le CETA.

    Il s’agira donc, dans cette devinette à venir, de déceler un bestiau parfaitement improbable… compte-tenu de nos climats et du niveau d’alcoolémie d’Ernest.
    Ce sera vraisemblablement mardi… mon lundi surbooké étant accaparé par des B.A à caractère vaguement gérontophile… et filial.
    _____________

    * Hêtres au hazoir ?… that is the question en cette station.

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  16. @ TRS :

    Après votre indice cinématographique, j’étais fort marri de ne pas trouver, car je me targue d’être aussi féru en cinéma qu’en BD (c’est-à-dire honnêtement sans être expert, et surtout avec une culture « classique » plus que contemporaine).

    Je suis tout-de-même rassuré (même si un peu vexé de ne pas avoir creusé), car dès la lecture de votre description du personnage-toujours-dans-la-pénombre-ou-indistinct, j’ai immédiatement et spontanément pensé que ce procédé (de la part du réalisateur du seul film où il joue… et donc pas de la personne recherchée, mais ça aurait permis de trouver ensuite) devait être dû à Orson Welles, ou alors à Alfred Hitchcock (éventuellement Woody Allen, mais cela aurait donné une description différente, je ne sais pas expliquer pourquoi).

    Comme un imbécile, j’ai écarté Citizen Kane, vu depuis trop longtemps et me semblant, allez savoir pourquoi, ne pas pouvoir correspondre. J’avais bêtement oublié le fait que l’enquête sur la vie de Kane est forcément menée par quelqu’un. J’ai ensuite cherché d’autres films de Welles, puis quelques films d’Hitchcock (par exemple, le voisin d’en face dans Fenêtre sur cour). Évidemment en vain.

    Comme il faut bien que cet incroyable acte manqué (pensez donc : j’avais non seulement bien deviné quel cinéaste pouvait recourir à ce genre de procédé, mais en outre immédiatement pensé au bon film avant de l’écarter péremptoirement sans l’examiner) trouve une explication qui satisfasse mon amour-propre. J’en conclus que c’est le résultat de ma rhinite carabinée qui transforme ma tête en citrouille et mon nez en chutes du Niagara *.

    Lorsque j’aurai retrouvé ma santé de jeune homme, proposez une autre énigme avec un indice du même acabit, je me fais fort de me rattraper. Non mais **.

    —————-

    * Mes recherches m’avaient conduit à songer (pour l’acteur occasionnel, pas pour l’auteur du procédé malin) à Brian De Palma, né à Newark. Or, il existe bien un Newark dans le New Jersey, et un autre dans l’Arkansas. Ça aurait pu coller… sauf que ces deux États ne sont pas limitrophes, et que ces toponymes ont une toute autre origine.
    Or, figurez-vous que j’ai également noté que Newark était l’ancien nom de la petite ville pittoresque de Niagara-on-the-Lake ! Cela aurait pu être une fourberie de votre part de faire référence à un ancien nom. Mais c’était absurde : le Picard n’est pas fourbe (ha ha), ni le Canada ni l’Ontario ne commencent par New ou Ark, et aucun autre Newark n’existe à proximité. Mais vous aurez ainsi appris l’ancien nom de cette petite ville « so british » un peu carton-pâte qui essaie d’attirer quelques touristes égarés après la visite des chutes du Niagara.

    ** Votre nouvelle devinette arrive trop tôt. J’espère en effet ne pas avoir parsemé ma prose de trop de coquilles, du fait de mes quintes de toux obstinées. Oui, ma rhinite évolue en bronchite. Si vous y tenez, je vous informerai des évolutions ultérieures.

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  17. Jacques C., TRS :

    j’en étais pour ma part resté à La Dame du lac de Robert Montgomery, et je m’y suis noyé.
    Ceci dit, il m’est difficile de résoudre une devinette téhèresque tout en partageant un weekend avec ma compagne ( une fameuse cuisinière avec laquelle je fais une bonne paire, ne vous en déplaise, mon cher maire!) et en écrivant mon propre billet, y incluse sa devinette.

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