Les indices du mardi 29/05/2018

Seul Un Intrus a trouvé la bonne réponse à ma dernière devinette. Il a donc droit à toute mon estime.

Pour les autres, voici les traditionnels indices :

  • une précision :

je n’ai pas trouvé de page wiki en français concernant le navigateur dont il est question. Il existe néanmoins une page en anglais très succincte, ce qui s’explique par le fait que personne ne sait réellement de qui il s’agit ( pas de lieu ni de date de naissance ou de décès, par exemple, ainsi qu’ un nom à l’orthographe changeante ) et que son existence n’est prouvée que par des témoignages auxquels on peut ajouter foi ;

  • pan !

par antonomase, les armes à feu furent appelées dans tout l’archipel du nom de l’île où elles firent leur première apparition et ce nom est resté en usage jusqu’à l’époque moderne. Si on ne fabrique plus ces armes-là dans cette île-là on y met désormais à feu d’autres objets ;

  • une chanson ?

Allez ! Très bien ! Vous l’aurez voulu !

 

  • Pas d’autre indice : quel qu’il soit, ce serait vous donner directement la solution ! ( si ce n’est pas déjà fait … ).

16 commentaires sur “Les indices du mardi 29/05/2018

  1. Bonjour Leveto,

    Revenu d’une absence effective, ‘mentale un peu’ mais pas que, je vois tout ce que j’ai manqué et j’applaudis au triomphe de l’Intrus, le meilleur d’entre nous.

    Par contre, je n’applaudis pas à ce passage de votre billet, tandis que vous évoquez : …ces armes-là dans cette île-là…

    Moi, qui ne suis qu’un vieux con, conservateur d’us hérités et soucieux du rituel, j’aurais appliqué au propos cette sorte de rythmique de la marche qui, allant à rebours de la montée diatonique en Do majeur, propose au lecteur le ci avant le .
    C’est d’ailleurs attesté par n’importe quel furet du répertoire, zoologique et lubrique, lui qui passe d’abord par ici puis par

    Bref et comme je dois, dès demain (ou peut-être le jour d’après), enfourcher encore ma monture diésel pour aller, cette fois-ci, considérer comment vont la vie et les moutons en Haute Provence, il me revient un souci de propreté, de ménage : -Ma vieille carne de mère, exécrable d’humeur et pédagogue rurale, m’a toujours dit : -Mon fils… ne laisse jamais rien traîner derrière-toi… en suspens et en désordre. L’opprobre de blog et le constat des RG te survivront tandis qu’ici-bas tu ‘gésiras’, pauvre dépouille et fripouille en transit vers l’au-de

    Bref encore et pour rappel, il s’agissait, dans un cadre d’onomastique appliquée aux gentilés, de retrouver une curiosité évoquée le 13 mai de l’année courante… à la suite d’un billet émis le jour précédent.

    Bref, toujours et encore, et puisque vos compétences, Leveto, celles es publications de S-F… et celles aussi de Jacques C, es celtoïdes convulsions idéologiques et pratiques agricoles, d’antan et d’encore, n’ont su se montrer efficientes, il ne me reste ici et si las qu’à faire la promotion d’une mixture commercialisée (en flacons) chez Rougier & Plé et autres détaillants en fournitures adaptées aux beaux-arts :

    L’auteur A (celui évoqué à l’énigme et celui du roman), s’il a échappé en son temps aux rafales sanitaires de l’épuration a pourtant laissé son nom à une sorte de mayonnaise, tarifée maintenant à raison de 75 € le litre.

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  2. @ brosseur :

    TRS nous parlait dans son énigme d’un récit impliquant une île. Il n’y a aucune île dans The ugly little boy (désolé pour ce titre anglais, mais pour une fois c’est un cas où je considère que la traduction française du titre est beaucoup plus faible que la forme anglaise, même si elle dit techniquement la même chose mot pour mot).

    TRS nous parlait dans son énigme d’un texte publié d’abord en français et traduit par son auteur. Asimov ne parlait pas français et n’a donc jamais traduit lui-même un de ses textes dans notre langue (et The ugly little boy a connu une parution normale, en anglais).

    TRS nous parlait dans son énigme d’une œuvre écrite pendant la Seconde guerre mondiale ou la concernant, alors que la nouvelle The ugly little boy a été écrite en 1958 et n’a aucun rapport avec elle.

    TRS nous indiquait dans son énigme que l’auteur A avait illustré lui-même son ouvrage, alors qu’Asimov ne dessinait pas, contrairement à J.R.R Tolkien qui nous a, lui, laissé de nombreuses et parfois magnifiques illustrations de ses œuvres.

    Bref, je ne vois pas comment a pu vous venir l’idée saugrenue de proposer The ugly little boy comme solution de l’énigme.

    Mais il vous sera pardonné, car The ugly little boy (je ne me lasse pas de vous rappeler ce titre) est à mes yeux l’une des plus belles nouvelles de science-fiction jamais écrite, dont la chute, je l’avoue, me met toujours les larmes aux yeux.

    ———-

    Incidemment et c’est une coïncidence assez étonnante, j’ai relu The ugly little boy pas plus tard qu’avant-hier ! Certes, je la relis de temps en temps, mais il est amusant que cela tombe au moment où vous vous y intéressez.

    Incidemment, et ce n’est certainement pas une coïncidence tant j’ai pu vérifier mes convergences avec Asimov, lorsque ce dernier était interrogé sur ses œuvres préférées, il en citait trois, parmi lesquelles The ugly little boy et la deuxième partie (elle-même titrée « Les Dieux eux-mêmes ») de son roman Les Dieux eux-mêmes (dont les parties sont inspirées par un ver de Schiller « Contre la stupidité / les Dieux eux-mêmes / luttent en vain »). Or, bien avant de découvrir cet auto-jugement d’Asimov, j’avais de mon côté, après lecture de quasiment toute sa (gigantesque) œuvre de fiction, considéré que ses deux plus beaux textes sont The ugly little boy et la deuxième partie de Les Dieux eux-mêmes. C’est évidemment avec grand plaisir que j’ai découvert qu’il pensait de même (en y ajoutant un autre texte, certes excellent mais qui m’impressionne moins, à savoir sa nouvelle La dernière question).

    La deuxième partie de Les Dieux eux-mêmes, qui pourrait à quelques détails près pratiquement constituer un texte autonome, est la plus originale, inventive, construite et surprenante invention jamais réalisée d’une forme de vie non-organique (avec la « double surprise finale » typique des meilleurs Asimov). Un bijou réglé au millimètre, avec une inventivité incroyable qui s’abstrait de toutes nos habitudes.

    The ugly little boy est tout simplement un magnifique texte. Sans prétention. Sans chichis. Construit, simple, émouvant. Rien que pour l’avoir écrit, Asimov a gagné ses lettres de noblesses comme écrivain-tout-court.

    ———-

    Je sèche en revanche toujours sur l’énigme de TRS (et sur celle de leveto, mais c’est habituel). Il y aurait un lien avec le monde celte et l’agriculture ? Ça ne m’aide hélas pas.

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  3. NB : Ne pas confondre la merveilleuse nouvelle The ugly little boy avec le roman que Silverberg en a tiré. Je n’ai pas lu le roman, mais je ne pense pas le faire un jour. C’est une hérésie de vouloir retravailler et « étirer » un texte qui se tient précisément par sa concision et sa construction. Lisez la nouvelle d’Asimov, pas le roman de Silverberg.

    NB 2 : Je découvre que Wikipédia affirme que le troisième texte préféré d’Asimov parmi ses œuvres était L’homme bicentenaire. Ma mémoire me fait peut-être défaut, et je le préfère sans doute à La dernière question (mais il faudrait que je le relise, cela date). Quoi qu’il en soit, je suis plus que d’accord sur les deux autres.

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  4. Merci Jacques C.
    Mon but était de provoquer TRS – de susciter une de ses (cèlèbres) rodomontades* (à mon endroit).

    _____
    * et d’en tirer d’autres indices

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  5. J. C.
    Avez vous retracé les raisons (motifs) de votre choix de relire « The Ugly Little Boy » hier (justement).

    ___________
    Le seul (?) titre avec un « B » important dans le titre

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  6. Et oui, Brosseur, pour toutes les raisons énumérées par Jacques C, votre proposition est à rejeter.
    Mais, bon prince, je vais vous aider et Jacques aussi :

    1. Un extrait de cet ouvrage technique que je possède depuis plusieurs décennies… en faisant l’effort de le recopier de mes deux doigts.
    Il se situe à la page 275 sur les 500 que comporte le livre… et c’est pour vous en donner le ton, pas un ton se référant à une couleur particulière mais le ton adopté quand un tel « professeur à l’ancienne » cause à son élève studieux, dans l’intimité que procure la lecture :

    Température ambiante.
    Tu procéderas au vernissage de préférence par temps sec. S’il t’arrivait de vernir une toile par temps humide, tu aurais soin de la maintenir pendant plusieurs journées dans une pièce bien chauffée, avant de la vernir et après l’avoir vernie.

    2. L’auteur A n’a certes pas la notoriété d’un Asimov et je suis à peu près persuadé que 99,9% des habitants de mon canton n’en ont jamais entendu parler… tandis que cet ouvrage technique reste une sorte de Bible, rééditée et traduite dans bien des contrées civilisées et à destination d’un public particulier.

    3. Il a pourtant sa notice sur Wikipedia, cet auteur, et c’est grâce à elle, il y a quelques années de cela, que j’en ai appris davantage sur son compte. Notamment à propos de ses mauvaises fréquentations au sein d’une sorte de cénacle où se retrouvaient, durant l’entre deux guerres, une tripotée d’intellectuels, artistes, littérateurs… etc.
    Ils étaient animés par une volonté de retrouver une certaine pureté de la race celte, sa culture et sa langue.
    Mais les troubles relations entretenues ensuite par ces Bretons farouches et l’Occupant, ça fait encore débat :

    Cliquer pour accéder à reecriture-histoire-bretagne.pdf

    4. Le titre du roman de S-F désigne, dans la traduction française, une île sans la nommer vraiment… un peu comme on dirait « L’Île de Beauté », en lieu et place du toponyme La Corse.

    5. Pour Jacques C : essayez d’imaginer par quel procédé rustique et ingénieux ma grand-mère et ma mère prenaient soin de protéger quelque semis précieux des aléas climatiques, tôt en saison… grâce à quel ustensile ?
    Pour l’île à protéger, c’est idem mais en beaucoup plus grand.
    ……..

    Je crois que tout est dit. Je n’attends donc que le gentilé (extraordinaire à mon goût) et une image à caractère commercial montrant la mixture qui porte le nom de A.
    ______________

    P.S : mon top five à moi des romans de S-F se résume à :

    Martiens go home
    Demain les chiens
    Cristal qui songe ( ou Les plus qu’humains)
    Chroniques martiennes
    Et Matheson, surtout certaines nouvelles qui m’avaient fait de l’effet.

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  7. @ TRS :

    Sans préjuger d’informations précises que vous avez sans doute collectées sur les fréquentations douteuses de Xavier de Langlais, qui sont fort plausibles puisqu’il existait bien à l’époque un courant identitaire breton pro-nazis (les quelques exemples donnés dans le lien fourni par vos soins, qui donnait d’ailleurs la réponse à votre énigme, sont déjà convaincants), il faut remettre le mythes des « Bretons collabos » à sa juste place.

    — Le premier mouvement identitaire breton, autour de l’URB (union régionaliste bretonne), né à la fin du XIXe siècle, regroupait dans un bel ensemble des nobles monarchistes, des républicains farouches (qui eussent été dits plus tard « laïcards ») et des catholiques militants. Rien de très marqué politiquement, une certaine nostalgie romantico-folkloriste.

    — En 1905 l’URB évolua vers une position conservatrice et catholique, ce qui poussa Anatole Le Braz et bien d’autres à la quitter et à créer en 1911 la FRB (fédération régionaliste bretonne), plus politisée, républicaine et souhaitant œuvrer au développement économique de la Bretagne. À cette date fut créé également pour la première fois un parti envisageant l’indépendance, le Parti nationaliste breton, également plutôt à gauche (si si : ne pas confondre avec l’ultérieur parti national breton qui n’a rien à voir).

    — Après la Première guerre mondiale, le mouvement breton (dit emsav) s’est fractionné en multiples courants… dont la plupart étaient internationalistes, communistes ou anarchistes !

    — C’est cette réalité qui prévalait en 1939, où une seule des nombreuses organisations régionalistes ou identitaires était pro-nazie (le Parti National Breton, à ne pas confondre avec son devancier presque homonyme). Une seule !
    Le texte que vous nous avez partagé est très étrange car, après le rappel indiscutable de la compromission de quelques personnalités précises avec Pétain ou l’Allemagne (ce qui d’ailleurs n’était pas la même chose, car les pro-Allemands espéraient que Berlin leur octroierait l’indépendance, alors que Pétain y était farouchement hostile), il affirme péremptoirement, en argument d’autorité mais sans aucune référence historique, que « les faits » auraient été ceux d’une compromission généralisée du mouvement breton avec l’occupant. C’est grotesque. Les faits, c’est qu’à côté de (ou plutôt contre) le PNB pro-nazis, existaient l’Union de la Jeunesse Bretonne, le Groupe Régionaliste Breton, la Ligue Fédéraliste de Bretagne ou le Parti National Révolutionnaire Breton, tous de gauche et anti-nazis.
    Ainsi, lorsqu’en 1940 il fut question (brièvement) d’interdire le PNB en raison de ses positions pro-nazis, toutes les autres organisations de l’emsav et la plupart des figures intellectuelles bretonnes ont soutenu ce projet avorté d’interdiction ! Comment certains osent-ils maintenant affirmer que les figures intellectuelles bretonnes se seraient majoritairement compromises ?

    — Il y a de quoi se mélanger les pinceaux, car le journal Breiz Atao, créé en 1919 par les organisations de jeunes de mouvements essentiellement républicains ou révolutionnaires, avait évolué au fil des années pour tomber sous la coupe du PNB avant la Seconde guerre mondiale. Ainsi, avoir écrit dans Breiz Atao est souvent considéré a-posteriori comme sulfureux, mais ceux qui l’ont fait au début des années 20 étaient généralement de gauche (voire très à gauche et dreyfusards) et ne pouvaient pas deviner que ce journal deviendrait 15 ans plus tard un abri pour antisémites et racistes… Il est assez scandaleux (sur le plan de l’honnêteté et de la rigueur scientifique) de mêler sous la même opprobre des époques et des personnes sans aucun rapport idéologique.

    — 40% des jeunes engagés dans les Forces Françaises Libres étaient des Bretons. C’est la région ayant apporté, de loin, le plus fort contingent (bien sûr, pour d’autres régions, les forces anti-nazies étaient restées sur place via par exemple les Francs-Tireurs Partisans, et je ne prétends certes pas que les Limousins fussent moins résistants que les Bretons). Sauf à considérer que les FFL n »étaient pas d’aussi vrais résistants que les maquis du Massif central ou des Alpes, cette simple donnée suffit à invalider le mythe d’une Bretagne collaboratrice.

    — Alors oui, quelques personnalités, parfois d’ailleurs guère influentes avant-guerre et devenues importantes par le seul fait de leur collaboration à une époque où les autres devaient se taire (ce qui relativise fortement leur place dans l’histoire intellectuelle bretonne) ont collaboré, ont exprimé des propos immondes, ont étalé un antisémitisme abject. Oui, bien sûr. Ni plus ni moins que dans toutes les autres régions françaises. Il est très très étonnant, et assez suspect, que l’inventaire des « figures collabo » ait signalé l’appartenance à l’emsav ou l’identité bretonne dans ce cas-là, mais n’ait jamais fait les mêmes énumérations pour les autres régions françaises.
    Il y a eu des Bretons collabo ? Bien sûr ! Trop, comme partout ailleurs en France. Ni plus ni moins. En faire une fixation pour discréditer l’emsav est assez délirant.

    Une fois tout ceci rappelé, oublions la deuxième partie du texte que vous nous avez mis en lien, oublions l’étrange obsession de Françoise Morvan pour réécrire l’histoire de la Bretagne (je la respecte mais suis de plus en plus circonspect sur le sérieux de ses travaux), et revenons sur les faits : certaines personnes ont clairement été collabo et ont écrit des articles intolérables. C’est apparemment le cas de Xavier de Langlais. Cela ne permet pas de généralisation sur l’emsav, mais cela suffit à rendre certaines personnes clairement infréquentables et, oui, sulfureuses.

    NB : Ironiquement, le nouveau mouvement breton qui s’est développé depuis les années 1950 est très fortement marqué à gauche et dans l’engagement écologiste. La quasi-totalité des figures du revival culturel breton étaient (et sont toujours bien que moins jeunes) des militants tiers-mondistes, écologistes et autogestionnaires. Leurs successeurs sont très majoritairement des militants altermondialistes, écologistes, qui se battent pour accueillir les actuels réfugiés (les fameux « migrants »), etc. Il suffit de regarder les votes dans les différentes élections depuis 20 ou 30 ans : la Bretagne y connaît les plus forts scores écologistes et de gauche « franche » (et même socialistes, mais faut-il les classer à gauche ?), et les plus petits scores FN.
    Renvoyer à la figure d’une Bretagne très à gauche et écologiste un supposé passé « collabo et antisémite » a de quoi laisser perplexe. Je veux bien qu’il faille assumer le passé pour ne pas le reproduire (d’où le problème de l’Autriche qui n’a jamais assumé sa responsabilité dans le nazisme et s’est présentée comme « victime », et qui voit renaître un fort courant raciste et d’extrême-droite), mais la Bretagne a déjà dû trainer l’infamie de cette image collabo pendant toutes les années 50 et 60, et n’a cessé de la digérer. C’est bon, il faut beaucoup de mauvaise foi pour prétendre qu’il y aurait un déni. Et il serait peut-être temps de remettre la réalité en proportion. Fantasmer sur le « peuple celte » en Bretagne n’est pas en soi une preuve de racisme — ne pas confondre le régionalisme qui est majoritairement ouvert avec un « nationalisme régional » qui n’est le fait que d’une minorité.

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  8. @ leveto :

    Je viens d’envoyer un looooong commentaire sur la Bretagne et les fantasmes de certains mythes tenaces, avec plein de détails historiques précis, et tout.

    J’ai cliqué comme il faut, après avoir rempli les champs. Comme d’hab’.

    Ça a donné lieu à un petit cercle de mise à jour, comme d’hab’.

    Et puis rien. Mon commentaire a disparu. Même en faisant « retour arrière » je ne le retrouve pas. J’avais fait l’erreur de ne pas le copier. J’ai la haine.

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    repêchage opéré !

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  9. ►Jacques C.

    j’ai relu deux fois votre commentaire et y ai appris un tas de choses.Merci.

    Me sont revenus des souvenirs de mes années étudiantes à l’ École véto de Toulouse. Deux « communautés » s’y faisaient particulièrement remarquer : les Basques, venus en voisins, qui nous enchantaient par leurs chœurs ouvrant et fermant les cours en amphi ( Ah! Cet Hegoak a capella, béret sur la tête et main sur le cœur ! ) et les Bretons ( l’École véto de Nantes n’existait pas encore ) qui furent les premiers écolos que j’ai connus et qui firent par exemple venir René Dumont pour une conférence mémorable lors de la campagne pour la présidentielle de 1974 ( j’ai appris plus tard que quelques uns d’entre eux étaient adhérents ( fondateurs ? ) des CAB ).
    À mes grands regret et étonnement, aucun d’eux ne m’a accompagné sur le Larzac. Peut-être y sont-ils allés sous leur propre bannière… Moi, je n’en voulais pas, de bannière : c’est sans doute ce qui a fait toute la différence!

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  10. TRS avait-il trouvé (lui aussi) la clef de la devinette ?
    « Galvano, se trouve dans deux lettres de saint François Xavier, datées de 1552, qui la placent, d’une manière assez vague, « huit ou neuf ans auparavant », soit en 1543 ou en 1544. Or Langlès — et, peut-on ajouter, Hildreth  »

    __________
    ?

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