L’indice du mardi 02/10/2018

Un Intrus, Brosseur puis TRS occupent les premières marches du podium, les deux derniers aidés, semble-t-il, par un nouveau commentaire allusif de TRA  paru sur LSP ( avant la parution traditionnelle du mardi, ce qui a un peu énervé TRS …).

Pour ceux qui n’auraient pas encore trouvé la réponse à ma précédente devinette, voici un  indice explosif:

9 commentaires sur “L’indice du mardi 02/10/2018

  1. Désormais promue Chargée de la communication auprès de TRS, ce brave homme auquel je dois tout, question CDD & CESU , il est temps pour moi de me plier à ma tâche en disant tout, urbi et orbi, de son agenda politique, advenu et à venir :

    Lundi 1er septembre :

    – En journée, concevoir un blason qui cause, qui cause au public. Un blason qui saura traduire mon humeur et ma lassitude : – Râle/Bol, en faisant cohabiter zoologie locale et ustensile ordinaire, fera l’affaire.
    Mais quid des teintes ? Et est-ce que mon fournisseur habituel en matériel et produits pour les beaux-arts aura le matos requis, en tubes ou godets, la camelote disponible ?

    – En début de soirée, envoyer à Orange(84) le nom du patelin exigé. Pour simplement liquider cette affaire avant le M.A.S.H à la télé.

    – M’inquiéter un moment des dires de ma vieille carne de mère, cette Normande qui m’a souvent raconté, dans mon enfance, qu’elle avait su choper moult anoures par le simple effet d’un morceau de chiffon rouge accroché au bout d’une ligne… et sans hameçon.
    M’a-t-elle alors carabistouillé ?

    Mardi 2 septembre

    – Emerger… Pipi-caca, café noir et tabac brun. Un godet de gnole pour le sanitaire et le ver.

    – Apprendre le décès d’Aznavour et m’en remettre assez vite.

    – Aller sur LSP et ne pas m’en remettre… en voyant les basses manœuvres de certain faux-cul faux-nez. Penser à m’en indigner grave et à dénoncer la chose auprès de la Kommandantur et de qui de droit, en PACA.

    – Terminer l’ingénieuse fabrication de mon « blason parlant » : le bol, au final, ne sera pas d’Or, ni d’Arménie ou des Monédières… il sera de gueules, de ce rouge héraldique du même métal… émail que celui qui accapare mon champ de vision quand je vois rouge, tout rouge avec, dans le paysage de LSP, tant de vaines et allusives bassesses.- Poil aux fesses !

    – Vaquer enfin un peu

    Mercredi 3 septembre

    – Même cérémonial inaugural et matinal, à jamais reconduit

    – Apprendre ensuite, en consultant VVLT, que Leveto dubite quant à ma probité sportive… M’en soucier modérément. Accorder plus d’importance à l’impact efficace du rouge dans la prédation de verts anoures, selon cette légende transmise d’une mère à son fils.

    – En rester coi, plutôt que coassant… quand on voit le témoignage de documentaristes contemporains :

    – Dire à Leveto, cet improbable disc jockey, que sa vidéo (explosive?) en indice est à chier… Et que de l’Orne à la Mayenne il n’y a qu’un pas à faire pour retrouver une fantaisie rurale à caractère tautologique : Rennes-en-Grenouilles (53 110)

    – Dire à ce gougnafier de TRA de bien vouloir pardonner mes emportements d’un moment et que, s’il est d’humeur et moi aussi, et s’il a le réel souci de faire enfin pénitence , je suis prêt à l’absoudre de toutes ses fautes et ses bassesses. – Poil à ses fesses !
    Il s’agirait alors pour lui, enfin repentant, d’avoir à envisager techniquement les rapports qui existent entre la littérature (celle qui a su faire dans le name dropping toponymique et historique) et cette fâcheuse tendance actuelle à vouloir faire passer de vie à trépas d’humbles patelins avec leurs noms… pour les intégrer dans d’obèses municipalités.

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  2. Il semble que TRA ne se soit pas présenté hier à confess’ : – Poil à celles qu’on lui sait!
    Qu’importe… et pour que rien ne se perde ici, voir « à suivre » un gentil pensum à la gomme (arabique ?) que j’avais en tête de lui destiner.

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  3. POETIQUE DE LA TOPONYMIE ET REORGANISATION DES TERRITOIRES

    1. En son temps, un auteur A écrivit un texte T

    2. Ce texte T contient encore une importante quantité de toponymes d’époque. En faire le compte et n’en oublier aucun.

    3. Par négligence, l’auteur A, probablement un amateur, a mal su orthographier certains de ces patelins. On s’en foutra : la Jeune science toponymique est là pour nous rappeler la variabilité des graphies, au gré du temps et de l’espace.

    4. Un lecteur du XXI° siècle, un lecteur sérieux, constatera, avec amertume et désapprobation, que certaines des localités citées se sont maintenant évanouies du paysage.
    Il pestera une fois encore contre cette lamentable pratique qui vise intégrer, faire fusionner des communes innocentes lors de mariages obligés.
    Il prendra un Kleenex ou deux pour éponger ses larmes.

    5. Ce lecteur se consolera –pour un moment- en découvrant que l’auteur A, par une sorte de vision anticipatrice des strates et des découpages opérationnels futurs de nos collectivités locales, a su proposer le mariage de 2 patelins, parfaitement voisins mais appartenant à deux cantons distincts.
    Son idée audacieuse n’a pourtant pas été suivie… et la notice Wikipédia consacrée à chacune de ces deux communes ne manque pas de le rappeler : L’homme de lettres et le poète n’ont pas toujours raison !

    6. Pour un garçon tel que Moi, si sentimental et qui suis un habitué des contrées à caractère montagneux, envisagées depuis Grenoble jusque vers ailleurs (en plus bas), c’est avec plaisir que je retrouve dans le texte T une « ancienne commune », la même que celle qui fut évoquée par Leveto, en son temps et il y a quelques années… à propos d’une devinette que seuls la délicieuse Zerbinette et moi avions résolue.
    Plus tard et en d’autres circonstances, ce Véto avait stigmatisé à ce propos ma mauvaise mémoire. – Poil à ses génitoires !

    7. Question indices adventices, est-ce vraiment nécessaire ?… Si oui, le public ira se pencher du côté de VVLT :

    – Dans la barre « Rechercher », les simples lettres qui désignent cet homme de lettres proposent quelques occurrences.

    – Dans mon souvenir, il me semble bien que Leveto , parfois heureusement inspiré, avait su proposer à sa clientèle une chanson épatante.

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  4. Le temps passe vite, si vite, et les 24 heures de délai tolérable(s) viennent de sonner.
    Il est donc temps pour moi de me livrer à une livraison d’indices… pour les grands nécessiteux :

    1. Le nom de l’auteur A s’écrit à l’identique d’un toponyme.
    On précisera que cet homme de lettres s’est beaucoup servi de noms de lieux dans ses écrits, pour l’ambiance, et l’on sait ses ponts… qui ne sont pas d’Avignon (84) mais d’ailleurs.
    Il lui est même arrivé de citer un misérable patelin de l’Aisne, Couvrelles (02 230 et 190 habitants), une localité sise du côté de la Vesle… ceci pour la facilité de la rime et l’aspect géobiographique.
    Parce que, question « bio’ in vivo », pour un vague médecin, c’est quand même pas tous les jours qu’on peut se recueillir sur sa propre tombe.

    2. Ce fut une véritable torture pour un garçon comme moi de ne pas pouvoir laisser de liens vers You Tube, tellement tant de chansons auraient pu faire l’affaire en la débrouillant aussi sec… et je soupçonne même Brassens de lui avoir emprunté «l’éternelle fiancée», celle de La non-demande en mariage.
    Mais on n’en voudra pas à ce « bougon » d’avoir eu « bon goût ».

    3. Par pure faiblesse et par ce goût que j’ai de l’anatomie considérée au sens militaire – Poil à ma raie culière !- une exhumation d’intérêt public :

    D’autres, plus jeunes plus fous et véritables rebelles, iront voir du côté de Vian et de Mouloudji, pour une autre affaire de conscription.

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  5. J’avais envoyé ma réponse à TRS à 18 h 41, sans avoir lu, évidemment, votre commentaire de 18 h 38, leveto. Mais je n’ai pas l’excuse d’avoir été occupé par ailleurs pour avoir tant tardé.

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  6. Un Intrus , je me suis permis de donner la réponse ici, sans passer par la boite postale de TRS, parce qu’il me semblait que ce dernier trépignait d’impatience et il n’est jamais bon qu’un Picard trépigne trop longtemps …

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  7. Je ne connaissais pas ce poème d’Aragon (et suis heureux de le découvrir).

    J’avais pensé à Céline (Louis Ferdinand Destouches) et au « Voyage au bout de la nuit » car :
    – il était médecin (« un vague médecin ») ;
    – il existe une commune « Les Touches » dont le nom est proche (mais, il est vrai, pas identique) de son patronyme (« Le nom de l’auteur A s’écrit à l’identique d’un toponyme ») et Celine est le nom de deux localités de Croatie ;
    – il « s’est beaucoup servi de noms de lieux dans ses écrits, pour l’ambiance » : Rancy, Bamboula-Bragamance, etc. (il a écrit aussi « Le Pont de Londres ») ;
    – il « a su proposer le mariage de 2 patelins » Rancy semble être un mot-valise formé sur Drancy et Le Raincy (mais il existe aussi un véritable Rancy en Saône-et-Loire).

    Il est vrai que d’autres indices auraient dû me faire douter et me mettre sur la bonne voie, notamment celui-ci, fourni pour éviter que l’on ne s’enferrât : « le poète n’[a] pas toujours raison ».

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