Il y a très exactement dix ans nous fêtions les vingt ans de la chute du mur de Berlin.

Quant à moi, j’écrivais le premier article de ce blog tandis que Jacques C. en était le premier commentateur.
Ça ne nous rajeunit pas, mais ça devrait m’autoriser à lever mon verre avant de le boire.
« Buvons encore une dernière fois à l’amitié, l’amour, la joie », si vous le voulez bien, mais, promis!, je ne vous ferai pas le coup du « il faut que je m’en aille » …
… vous n’en avez pas fini avec moi !
PS pour le titre du billet, voir le mémorable :
Kenedy ne s’est pas trompé en disant « Ich bi min Berliner »
http://integrersciencespo.fr/explication-ich-bin-ein-berliner-kennedy
Pas plus que Plantu en 1989
http://histoiredesartscamus.over-blog.com/article-le-xxe-siecle-en-images-plantu-ich-bin-ein-berliner-1989-115855029.html
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bon anniversaire de blog alors 😉
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Merci, jsp !
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Avec plus d’une semaine de retard :
Make « Greta » great again …
«Dis-moi pourquoi Greta, dis quoi pour moi gros tas, y a un mur entre toi et moi. […] Pourquoi qu’t’habites à Berlin-Est, pourquoi qu’j’habite à Berlin-Ouest»
Alles Gute zum Geburtstag, leveto…
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Merci beaucoup, insecte chéri !
Et du Renaud, en plus ! si vous me prenez par mes points faibles …
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« Dix-sept ans plus tard, alors que le bloc communiste s’est effondré, Renaud entonnera «Welcome Gorby», une chanson plus politique sur «un petit bonhomme épatant» lauréat, en 1990, du «prix Nobel de la pénurie et de la dèche». Derrière l’hommage à Mikhaïl Gorbatchev, le titre sonne surtout comme une dénonciation virulente de la situation en France: «T’as fait tomber le mur de Berlin. Si tu sais pas quoi faire des parpaings, pour ta gouverne, y a de la place ici mon pépère autour de tous les ministères,* toutes les casernes». Et Renaud d’inviter «Gorby» à venir le «délivrer avec ses blindés» et à construire «quelques goulags au bord de la Seine» pour «un paquet de nuisibles»… comme BHL ou Dorothée (sic). »
Pour tout vous dire, leveto, c’est le premier titre auquel Slate fait référence, qui m’est d’abord venu à l’esprit :
«Take me to the magic of the moment, on a glory night where the children of tomorrow dream away, in the wind of change.»
Le vent du changement ayant tourné court pour Conrad Shumann, il m’est sincèrement difficile d’écouter l’hymne de Scorpion sans larmer sur le suicide de l’ancien soldat…
Sait-on s’il a inspiré une chanson ?
* Renaud n’a manifestement pas été compris… ;o)
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Merci pour cette brassée de bons souvenirs, MiniPhasme ! Ça ne me rajeunit pas, mais ce n’est pas grave, ces petits retours en arrière ne me déplaisent pas.
PS aucun hommage chanté à Conrad Shumann ne se trouve dans ma boite à souvenirs.
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