Parlons du pays !

Les lecteurs attentifs de ce blog auront noté l’apparition fréquente du terme « pays » de sens assez large, allant de la contrée aux frontières naturelles nettes à la région étendue aux limites floues, en passant par la circonscription administrative aux frontières artificielles.

Que se cache-t-il vraiment derrière ce « pays » ?

Le pagus, pays « administratif »

À l’origine, « pays » vient du latin pagus qui désignait une contrée rurale, division gallo-romaine du territoire. Mais ces pagi romains n’ont pas été créés ex nihilo : ils correspondaient peu ou prou aux anciennes cités gauloises qui nous sont connues grâce aux mentions de Polybe (IIIè siècle), de Strabon (38 av. – 21 ap. J.-C.), de Pline l’Ancien et de Ptolémée (90 – 168 ap. J.-C.) : il s’agissait de circonscriptions territoriales correspondant à l’aire d’une « tribu » ou d’un « peuple ». C’est un territoire extrêmement complexe que découvrent les Romains en pénétrant en Gaule, un agglomérat de peuples composites où « les liens de rattachement et de vassalité restaient encore fluctuants et ne coïncidaient pas toujours avec une consanguinité originelle » 1. Certains, précurseurs, étaient là avant l’arrivée massive des autres Celtes, comme les Bituriges, qui se proclamaient « rois du monde » et réclamaient une suprématie initiale. D’autres sont arrivés en ordre dispersé, s’installant souvent temporairement dans des territoires flous avant de s’installer ailleurs, conduisant ainsi à une organisation extrêmement complexe, dont rend compte l’étymologie des noms dont ils s’affublaient : Remi, « les premiers » ; Petrocorii, « les quatre peuples » ; Voconces, « les vingt clans » ; Allobroges, « ceux d’ailleurs » ; Morini, « ceux de la mer », etc. À l’époque romaine, certains de ces peuples s’étaient déjà déplacés, comme les Sequana, « ceux de la Seine », établis en Franche-Comté. S’il y avait alors en Gaule des peuples résidus de grandes nations, il y avait aussi des groupes secondaires qui se disloquaient et se reformaient sans cesse.

Dans l’impossibilité d’y reconnaître un ordre définitivement fixé, les Romains se sont appuyés sur les tribus gauloises élémentaires, dont le territoire moyen pouvait s’étendre sur environ 1500 km² soit un cercle d’une vingtaine de kilomètres de rayon. Les Romains ont appelé pagus ce territoire, d’une racine impliquant l’idée de fixation (cf. encadré). Après la mort d’Auguste, le Sénat romain faisait état de 305 de ces peuples. Au temps de César, il y en aurait eu 300. Ces tribus étaient alors plus ou moins fédérées en groupes plus importants dont les Romains ont fait les civitas, les cités. Il y en avait alors une soixantaine dont le territoire pouvait atteindre 20 000 km² et compter un million d’habitants. Arvernes, Eduens, Pictons, Santons, Rutènes, Lemovices, Bituriges, Carnutes, Senons, et Lingons faisaient alors, à eux dix, la moitié de la Gaule.

C’est cet espace organisé ancien que l’on devine encore aujourd’hui derrière le concept de « pays ». À l’origine territoire de la tribu, petite unité que l’on peut aisément parcourir en une journée, le pagus a servi a construire les premiers diocèses chrétiens. Avec des variantes ce sont, au Moyen Âge, les terres d’un seigneur, sur lesquelles on vit, on s’y connait, on y fait ses affaires. C’est alors la plupart du temps un même paysage, correspondant à un milieu naturel plus ou moins homogène (le Boulonnais, le Pays de Bray, la Vallée d’Aspe), même si certains pays peuvent se trouver au contact de deux unités naturelles distinctes (le Médoc partagé entre les vignobles sur les rives de la Gironde et la lande sablonneuse aujourd’hui complantée de pins) ou que d’autres peuvent n’avoir de réalité qu’en fonction d’une localité entourée de plusieurs types d’espaces (l’Agenais, le Bitterois, le Bordelais). À l’époque carolingienne, le terme de pagus est remplacé par celui de comitatus, « comté ». Leur nombre est évalué à 258 sous Charlemagne puis à 214 au milieu du Xè siècle : l’ordre de grandeur reste le même. En 1789, l’administration financière comptait 453 circonscriptions de base, de dimensions certes très inégales, mais dont « l’étendue moyenne n’en retrouvait pas moins , empiriquement, une surface du même ordre de grandeur que celle des pagi de la Gaule. Ces espaces de 1200 à 2000 km², cercles de 20 à 25 km de rayon, correspondent à une unité élémentaire d’organisation qui s’est maintenue »1.

À un niveau supérieur d’organisation, on trouve, à partir du XVIè siècle, les Gouvernements, d’abord circonscriptions militaires frontalières. Leur nombre, de 8 au XVè siècle, passe à 40 (dont 7 très petites) à la veille de la Révolution. Ces Gouvernements seront étayés, à partir du XVIè siècle, par 33 Intendances, bientôt dites Généralités. Le nombre total de ces divisions militaires et administratives de niveau supérieur est proche de celui des cités gallo-romaines (une soixantaine) et leur ordre de grandeur, de 10 000 à 20 000 km², reste le même : il y a là « une remarquable constance dans la trame du découpage »1.

On souffle un peu ?

Le pays « sentimental »

De la dimension initiale du pagus, relativement réduite, correspondant à l’espace vécu, familier, celui des échanges, du commerce, des relations coutumières, ressenti de manière affective, est né le second sens de « pays ». C’est la terre à laquelle on est attaché par les sentiments, celle des ancêtres, des pères (cf. l’allemand Vaterland, l’anglais fatherland, etc.), bref, c’est la patrie. Oh! Petite patrie d’abord, au sens où les livres de géographie de la Troisième République, pétris d’Histoire, l’emploient, en essayant de faire aimer d’abord sa petite patrie pour mieux aimer la grande, la France. C’est l’époque où ceux qui partent au régiment ou ceux qui ont quitté le village pour aller travailler à la ville (les maçons de la Creuse, les bougnats d’Auvergne, les ramoneurs savoyards, etc.), rêvent du retour au pays où chacun a sa payse, comme il est dit dans un couplet de la célèbre Madelon ou comme chantait Théodore Botrel : « J’aime aussi la Paimpolaise qui m’attend en pays breton ». Le succès de la carte postale folklorique dans les années 1900 – 1914 témoigne de cet attachement au pays que l’on quitte et pour lequel on éprouve une pointe de nostalgie, ce « mal du pays » que connaissent un jour tous ceux qui ont dû partir.

De cette petite patrie à la grande et enfin à la Nation et à l’État, il n’y eut qu’un pas. S’il fallait un acte de naissance à cette nouvelle notion, se serait sans doute la bataille de Valmy qui a fédéré des participants issus de diverses provinces, exemple suivi plus tard par l’Allemagne et l’Italie … Aux « pays » pluriels se sont substitués à ce moment-là les Nations, au sens d’États, entités politiques homogènes plus ou moins centralisatrices ; les « pays » d’aujourd’hui, en somme.

Le nom du pays

Je ne parlerai ici que du pays au sens de territoire, contrée rurale, laissant de côté le pays au sens d’État.

Le pays directement issu du pagus gallo-romain, puis du comitatus (comté) qui l’a remplacé, porte le plus souvent le nom de sa principale cité, d’un clan ou d’une seigneurie comme le Laonnois (autour de Laon dans l’Aisne), le Couserans ( des Consorani établis autour de Saint-Lizier en Ariège, anciennement Lugdunum Consoranororum), l’Astarac (entre Gers et Hautes-Pyrénées, du nom d’homme Asterius, sans, doute celui de l’administrateur), le Bazois ( autour de Bazolles, Nièvre), etc. Plus rarement, le nom du pays fait référence à une caractéristique : le pays de Sault ( dans l’Aude, du latin saltus, « bois, forêt du domaine public » d’où « région boisée »), le Terrefort (en Aveyron, sol argileux, collant, difficile à travailler), la Gâtine tourangelle ou vendéenne ( du vieux français guast, « dévasté, ruiné », issu du latin vastus, « vide, désert, désolé » ; il s’agissait à l’origine de pays peu fertiles), la Pévèle (département du Nord, du latin pabulum, « pré, pâturage »), etc.

Plus tard, quand le sens de « pays » s’est étendu pour désigner toutes sortes de territoires partageant quelques traits communs induisant un sentiment d’appartenance, quelques uns ont trouvé leur nom dans leur localisation même comme le Sundgau (contrée du Sud en Alsace) ou l’Ostrevant (pays le plus oriental de l’évêché d’Arras). Plus nombreux sont ceux définis par une unité de paysage ou de qualité topographique et souvent, par là, un certain type d’activités notamment agricoles, comme la Beauce (du celtique belsa, « plaine dénudée »), la Limagne (du celtique limo, « vase, limon »), la Puisaye ( du latin puteus, « puits », et suffixe collectif -eta : le sol argileux aux nombreuses étendues d’eau est à l’origine de la métaphore), etc. Plus récemment, certains pays ont été nommés dans un but ouvertement touristique comme la Côte d’Azur et les autres noms similaires. D’autres sont plutôt vus comme liés à une ville, comme aire de service et d’attraction : Chinonais, Saosnois, Agenais, Bitterois, etc.

Enfin, certains « pays » au sens vague de territoire commun, celui auquel on est attaché, ont été qualifiés de « pays historiques » ou de « pays traditionnels » dont les définitions sont des plus floues. C’est ainsi que plusieurs « pays » bretons sont désignés par un sobriquet évoquant le costume local, la danse traditionnelle, voire la réputation des habitants : Pays Glazik (habit bleu), Pays Rouzik (habit rouge), Pays Bigouden (de la pointe, certains évoquant la coiffe dite bigoude), Pays Pourlet (coiffe), Pays Fisel (danse), Pays Fanche (danse), Pays Pagan (païen).

1- Xavier de Planthol et Paul Claval, Géographie historique de la France, Fayard, 1988.

De nombreux noms de pays témoignent de l’importance du couvert forestier de la France dans les anciens temps. Parmi les nombreux pays concernés, outre le Pays de Sault (Aude) déjà vu, on peut encore citer la Goële (S.-et-M., du germanique Wald, « forêt », donnant l’ancien français gault), la Limargue (Lot), la Lomagne (Gers, T.-et-G.) et le Lommois (Ardennes) tous trois issus du nom de l’orme (celtique limo pour le premier et latin ulmus pour les deux autres), le Soubestre (P.-A., une déformation de Silvestri,« sylvestre », attesté au XIIIè siècle), etc.

Je vous propose de découvrir deux autres noms de pays liés à ce couvert forestier :

■ le nom féminin du pays A est la francisation d’un nom qui signifie « lieu de bois noir » dans la langue régionale. Traditionnellement, on peut s’y habiller de pied en cap et on y chante, danse et joue la comédie en plein air.

■ le nom masculin du pays B est dérivé du nom en langue régionale d’une forêt d’un certain arbre montagnard. Les coutumes locales qui façonnaient l’autonomie et l’identité de ce pays, parmi lesquelles la transmission du patrimoine et du nom de la maison au premier né quel que soit son sexe, sont entrées en contradiction avec les velléités centralisatrices post-révolutionnaires et le code Napoléon, et ont fini par disparaitre. On y mouline et on y glisse.

Des indices peut-être demain … ou plus tard.

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16 commentaires sur “Parlons du pays !

  1. « Certains étaient là avant les Celtes, comme les Bituriges, qui se proclamaient « rois du monde » et réclamaient une suprématie initiale.  »

    Ou j’ai mal compris la phrase, ou il est dit que les Bituriges n’étaient pas des Celtes.

    Serait-alors possible de connaître les sources (qui iraient à l’encontre de ce qui est généralement admis).

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  2. TRA
    je reconnais volontiers que ma phrase peut sembler ambiguë. Je tentais, par un raccourci audacieux, de rappeler que les Bituriges étaient déjà présents en Italie au VIè siècle avant J.-C. (selon Tite Live), soit deux siècles avant les invasions celtiques en Italie et longtemps avant que César ne parle de la Gaule celtique. c’est pourquoi ils réclamaient eux-mêmes la préséance et se disaient les « rois du Monde ». Je sais que Tite Live est mis en doute mais mon propos n’était pas de faire œuvre historique et de rentrer dans la controverse.

    Wiki confirme : « Compte tenu de ces récentes découvertes archéologiques, le texte de Tite-Live selon lequel les Bituriges Cubi auraient encadré les premières migrations celtiques en Italie du Nord prend un nouveau relief. Les Bituriges pourraient ainsi être parmi les plus anciennes civitas constituées, et ce dès le Hallstatt Final. »

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  3. Il faut dire que la formule « Certains étaient là avant les Celtes » est pour le moins discutable. Si j’ai bien compris votre intention (et avec les réserves d’usage sur les raccourcis de Wikipédia, notamment sur le sujet très confus des « Gaulois », « Celtes » et consort). Il vaudrait sans doute mieux écrire quelque chose dans le genre : « Certains étaient là avant les principales migrations celtes » ou simplement « Certains étaient là avant les autres Celtes » [il pourrait même être prudent d’écrire : « Certains semblent avoir été là avant… », car non seulement le texte de Tite-Live reste discuté, mais en outre rien ne prouve que les autres n’étaient pas également déjà là à cette époque !]

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  4. J’évoquais naguère l’identification de Cubzac-les-Ponts , par certains « érudits locaux », à Montauban, la place-forte des quatre fils Aymon.

    Les mêmes (ou leurs cousins) attribuent le nom de Cubzac (qui se retrouve aussi dans Saint-André-de-Cubzac, capitale du Cubzagais – et patrie du commandant Cousteau) aux Bituriges Cubes.

    Ce qui est sûr, c’est que ce sont les Bituriges Vivisques qui ont fondé Bordeaux (même s’il y avait du monde avant…).

    Et, aussi bizarre que cela puisse sembler, c’est plus à Bordeaux qu’à Saint-André-de-Cubzac que l’on trouve des bourges…

    [Il y a aussi pas mal de cubes en classe préoa aux lycées Montaigne et Camille Julian …]

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    Dans la légende des quatre fils Aymon, la forêt d’Ardenne joue un rôle important. Ce serait un « lieu de bois noir », si j’en crois une des étymologies proposées par WP pour la région qui porte actuellement ce nom.

    Mais les chances qu’il s’agisse de la réponse à la première énigme me semblent infinitésimales (sinon je n’en parlerais pas ici et maintenant).

    « Arduenna est le nom, probablement d’origine celtique, d’une forêt située sur et aux abords du massif de l’Ardenne (ainsi que d’une déesse celte, Arduinna), citée par Jules César et Strabon. Certains auteurs modernes défendent la couleur noire comme signification (du celtique Ar’Den qui signifie «la sombre»). »

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Ardenne#Toponymie

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    Il est à noter que, bien que Bordeaux soit la capitale d’une région viticole, le mot « biture » semble ne pas avoir de rapport avec les Bituriges.

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  5. MINUTE, PAPILLON !

    Je suis assez content d’avoir réussi à placer mon Biturix rectilinea avant que Brosseur ne me devance.

    [Les vertus du décalage horaire !]

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  6. Cubzadais
    le pays doit son nom à celui de son chef-lieu qui était Cubsac en 1273. Ce nom est une formation de l’époque impériale qui repose sur le nomen latin Cupitius accompagné du suffixe locatif gaulois -aco

    Ardenne
    silvam Arduennam chez César. L’étymologie la plus consensuelle fait appel au gaulois ardu-, arduo- , « pentu » puis, par extension, « haut, élevé » (cf. gallois ardd, « colline », le vieux breton ard/art , « haut ») , accompagné du suffixe enna (celui des Cévennes, p.ex.

    PS : sources habituelles. Cf. Bibliographie du blog.

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  7. Fréquentant depuis plus d’un demi-siècle Saint-André-de-Cubzac et ayant exercé mon activité professionnelle pendant treize ans à Bourg(–sur-Gironde), localité voisine, je puis assurer que personne n’utilise dans la vie courante l’archaïsme « Cubzadais », mais « Cubzag(u)ais ».

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  8. TRA

    Mes dictionnaires donnent le plus souvent le premier terme, tout en mentionnant la variante Cubzaguais.
    Je vois maintenant que le wiktionnaire date l’« archaïsme» de 1750 …
    Mais ça n’empêche pas le service des eaux de parler du Cubzadais – Fronsadais. Je me sens moins seul.

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  9. Prouvez que vous êtes un humain
    livrez votre fureteur aux cookies
    le yeux fermés
    C’est un piège les fenêtres de la pharmacie

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  10. La première devinette, c’était fastoche !

    Il s’agit de la forêt de Mirkwood :

    « Mirkwood is a name used for a great dark fictional forest in novels by Sir Walter Scott and William Morris in the 19th century, and by J. R. R. Tolkien in the 20th century. »

    https://en.wikipedia.org/wiki/Mirkwood

    —————————-
    « This Mirkwood features significantly in The Hobbit and in the film The Hobbit: The Desolation of Smaug. »

    Bilbo(n) doit la traverser avant d’aller tenter de ravir le trésor gardé par le dragon Smaug (que les gens au courant appellent Électro-Smaug).

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  11. En tout cas, n’en déplaise à l’Anti-France, tous ceux qui, le 14 juillet, assistent à notre Fête Nationale auront compris à la forme du béret que Superdupont a servi dans les chasseurs alpins !

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  12. J’étais bien passé trop rapidement) par la Soule.

    Mais j’ai eu le tort de me fier à la remarque (fantaisiste) du contributeur de WP, qui faisant un rapprochement avec le soleil (comme « soulane ») :

    « Soulor est fréquent en toponymie pyrénéenne où il désigne les versants d’une montagne exposés au soleil ».

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Soule_(province)#%C3%89tymologie

    Parfois, Wikipedia, c’est soûlant !

    [Mais ce n’était pas très adret de ma part de ne pas avoir pensé qu’il était hors de saison qu’une province basque puisse porter un nom appartenant à un parler d’oc. D’autant plus que l’article donnait les formes anciennes…]

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  13. Tout le monde connaît le silbo des Guanches, encore utilisé (agapté à l’espagnol) dans l’île de la Gomera.

    Un autre langage sifflé est utilisé au Béarn, voisin de la Soule.

    Mais tenter un rapprochement entre le peuple des Sibulates et le verbe latin SIBILARE (« siffler ») serait aussi hasardeux que de le faire entre le toponyme SOULE et le nom latin SOL (« soleil »).

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  14. Merci du rappel, TRA! J’avais complètement oublié la forêt de Mirkwood.

    L’étymologie wikipediesque donnée pour la Soule m’avait fait sourciller, moi aussi … mais bon, c’est wiki, n’est-ce-pas ?

    Quant aux sifflets Béarnais, je me demande où en sont les jeunes rugbymen que l’on découvre dans le docu…

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