Ma dernière devinette n’a pas eu beaucoup de succès.
Bon. Comme je vous sens flemmards au point de ne pas cliquer sur le dernier lien, je vous en recopie l’énoncé :
Il vous faudra trouver le nom d’un lieu-dit lié à un des deux premiers noms du billet d’hier (oui : vous pouvez laisser le troisième tranquille – ahah).
Le nom de la commune (C1) qui l’abrite est lié à celui d’un homme latin suffixé de manière classique et suivi d’un adjectif qualifiant sans doute l’aspect de son sol.
À moins de trente kilomètres, dans le même département, se trouve une commune du même nom avec un adjectif contraire, par simple souci de se différencier.
À près de cent trente kilomètres, dans un département voisin, se trouve une commune du même nom, à la dernière lettre près, et sans complément.
Si on en croit son nom, ce personnage éponyme des communes devait être là pour un bon moment.
Le même nom à trouver se retrouve, à 188 km, dans une autre commune (C2) d’un autre département, pour nommer des ruines. Il s’agissait là aussi, au moins jusqu’en 1868, d’un lieu-dit mais ce nom, présent sur la carte d’état-major de 1866, a disparu des cartes actuelles mais reste pourtant documenté. La commune qui l’abrite doit son nom à un relief dénudé. Ce nom est parfois complété, non officiellement, par
Comme promis, je vous propose quelques indices.
■ pour C1 :
■ pour le bureau centralisateur du canton où se situe C1 :
■ pour C2 (ben oui, il en fallait un …)
Et si, avec tout ça, personne ne trouve la solution … je ferme le blog.
Si, si. C’est dit.
Promis. Juré.
Cochon qui s’en dédit.
De bois, de fer (la croix).
Ah oui : craché aussi.
…
Eh! Les mecs ! Réveillez-vous !
Réponse attendue chez leveto@sfr.fr
PS : rien de ce qui précède — à partir de « Et si » — ne constitue un indice : c’était juste pour rire.
Encore une devinette pour le jacquecet…
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Vous ne croyez pas si bien dire, LGF : le jacquecet est en effet sorti de son terrier en pleine nuit pour déposer la bonne solution dans ma boite aux mels.
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« Et si, avec tout ça, personne ne trouve la solution … je ferme le blog. »
Une fermeture perpétuelle : ce serait sans concession …
Vous n’allez quand même pas perpétrer un tel acte !
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En pleine nuit, en pleine nuit, n’exagérons rien (un leveto implique sans doute de placer le « coucher » à une heure précoce).
En fait le jacquecet est perturbé par le changement d’heure, il lui arrive même de sortir au crépuscule. Comment ça, nous sommes déjà en pleine nuit ?
Mais comme il se doit, et quelle que soit l’heure, il est toujours vulnérable à l’appel d’une chanson, même lorsqu’elle l’attire loin des landes bretonnes dans les brumes du souvenir.
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Du côté de l’ancienne Ruthenia (et autres lieux circonvoisins) le « blanc » (« biel / bel ») et le « noir » / « tchern » se retrouvent dans beaucoup de toponymes :
– la rayonnante « Tchernobyl » / « Tchornobyl » (= « l’herbe noire », c’est-à-dire « l’herbe amère », « l’absinthe ») ;
– « Tchernvisti » (= « Visti [?] la noire »),
– « Belgorod » (= « Ville blanche », comme « Belgrade » en Serbie), où a eu lieu le raid héliporté ukrainien de cette nuit ;
– « Biélorussie » / « Bélarus » / « Russie blanche ».
[ Ce n’est pas en France, où l’on aime la couleur, que l’on verrait ainsi la toponymie en noir et blanc ! ]
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