Personne ne m’a encore donné de réponse à ma dernière devinette dont je rappelle l’énoncé :
Il vous faudra trouver un lieu de France métropolitaine dont le nom est bien entendu lié au mot du jour.
Une étymologie populaire lie son nom aux grands arbres qui le recouvraient.
Le nom de ses premiers occupants pourrait être une allusion à leur pratique assidue de la prière.
Il s’agit d’une ancienne préfecture.
Un indice
Je rajoute ces précisions et indices :
■ le nom à trouver désigne une colline devenue quartier d’une grande ville ;
■ incapable de choisir entre l’une ou l’autre de ces peintures, je vous propose les deux :
■ le lieu à trouver a déjà été mentionné sur ce blog à deux reprises.
Ça devrait suffire à vous faire crier victoire !
Réponse attendue chez leveto @ sfr.fr
– Une ancienne préfecture ?… Les Cévennes ?…
Un tel problème ne présente aucune difficulté à qui aura suivi un stage folk’ :
Ce genre de document montre la souvenance/survivance d’une situation administrative antique par l’unique biais de la tradition orale.
En des temps reculés, en effet, la gouvernance locale était assurée par une structure administrative dite « Grenoble (dans les Cévennes) ». On a oublié les noms des divers préfets de l’époque mais pas celui, prémonitoire, de Beyondcé Venn (=Beyond Cévennes= au-delà d’icelles)…
Cette secrétaire-adjointe de préfecture, à juste titre lasse d’un paysage de collines, fut chargée d’organiser la délocalisation de Grenoble-la-Vieille.
Afin de préparer au mieux le road-book, Beyondcé consulta un ouvrage de vulgarisation, à l’entrée « colline » :
https://indo-european.info/dictionary-translator/translate.inc.php/English/Indo-European/?q=hill
-KOLNIS ?… Elle y entendit Call Nice !… et c’est ce qu’elle fit aussitôt.
Ce fut Mado, standardiste niçoise, qui décrocha…Mais la liaison était mauvaise et l’accent typique épouvantable !… Bref, elle n’en tira rien et décida de rayer Nice des destinations possibles.
S’adressant alors au personnel administratif en marche vers la délocalisation :
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Supplément au Voyage de Beyondcé Vennes
Extraits :
• Il serait malvenu d’imaginer le personnel administratif d’une préfecture cévenole, promise à la délocalisation, n’avoir pour viatique que sa bite et son couteau… Il est avéré que, lors du Grand Dérangement, les Cévenols en transit emportèrent avec eux maintes gourdes made of cucurbites assez adaptées au transport de certaine « piquette propre à faire des centenaires à ne plus savoir qu’en faire ».
Il advint cependant que tarirent ces gourdes en peau de coucourde. Dieu merci, l’épisode, qui aurait pu virer au fait-divers le plus tragique, s’est produit à Voiron, dans l’ancienne Allobrogie et dernière station-service avant Cularo. On n’y proposait que de la verte, biocarburant aux vertus médicamenteuses :
• Il est plaisant pour un gnolophile invétéré d’apprendre que Voiron (Isère) tirerait son nom du mot celte voberol lequel aurait aussi donné nwywre, puis la vouivre (wivre au XIIe siècle), serpent fabuleux et imaginaire de nos campagnes… ».
Ce qui nous ramène à Mélusine, à la vipérine et au serpent verde de Dame Lombarde, celui qui peut provoquer une overdose chez la maumariée :
• Idem, il est plaisant pour un amateur de sculpturales anatomies de voir une lointaine descendante de la Beyondcé Venn prendre la pose, shootée devant la Niquée de Samothrace… alors qu’on la sait plus ADIDAS que NIKE :
• A propos de CULARO, il est bon de signaler son accointance lexicale avec la courge :
La boucle est donc bouclée qui nous aura menés, depuis Grenoble, dans les Cévennes, jusques aux courges de cuvette iséroise.
Ceci sans préjudice d’avoir à rappeler toute l’incidence du Cularo/Karu-lo dans ce qu’Elie Faure (1873/1937) appelait L’Esprit des formes :
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À propos des courges grenobloises :
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Ce qui me rappelle

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