Dūrum, la citadelle gauloise

La toponymie d’origine gauloise est très riche, on l’a vu avec le gué, le pont, la colline et la hauteur fortifiée. Je m’intéresse aujourd’hui à un autre appellatif, dūrum « citadelle, place forte » — avec une pensée émue pour Louis, le soldat.

La racine indo-européenne *dwher désignant une porte, à la fois ouverture et fermeture, a donné le celte dūrum  ou duro, dont le sens originel de  « portes » s’est étendu à « marché clos, place, forum » pour finalement désigner « la ville close, la citadelle, le bourg ». La différence avec les radicaux briga et dūnum est l’absence d’indication spécifique de hauteur : c’est la notion d’enclos, de mur, qui l’a emporté.

Comme les autres radicaux vus précédemment, duro a pu être employé seul (mais avec suffixe ) ou en composition (comme premier ou second élément).

Duro employé seul

Le seul exemple de ce type est celui de Duras (L.-et-G.) qui semble être un dérivé de duro accompagné du suffixe gaulois –acium. Un transfert du nom italien Durazzo de la ville albanaise Durrës, dont le nom français Duras est tombé en désuétude, a été suggéré … L’origine selon l’anthroponyme gaulois Duratius employé seul semble peu probable dans la mesure où les noms de personne gaulois sont dans la très grande majorité des cas accompagnés d’un suffixe d’appartenance ( comme -acum ) pour former un toponyme.

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Duro comme premier élément d’un nom composé

Les exemples de ce type sont relativement rares mais on peut néanmoins relever :

  • avec le gaulois mannus, « petit cheval de trait » : Dormans (Marne, Duromanensis en 1085) ;
  • avec le gaulois mello, « colline » : Dormelles (S.-et-M.) ;
  • avec le gaulois catu, « combat » : Drucat (Somme, Durcaptum en 870, Durcart en 1143, Durecat en 1186 ) où catu, « combat » aurait subi l’attraction du latin captus, « pris » ;
  • avec le gaulois *banno, « corne, pointe » : Durban (Gers), Durban-Corbières (Aude, Durbanno en 1343), Durban-sur-Arize (Ariège, castrum de Durbanno en 1446) et Castelnau-Durban (Ariège) ainsi que Durbans (Lot, avec –s adventice) ;
  • avec peut-être le gaulois corio, « armée » : Domqueur (Somme, Durocoregum vers 365, Dulcorio en 1176, Donquerre en 1203).

Duro comme second élément d’un nom composé

En seconde position d’un nom composé, duro est le plus souvent précédé d’un -ó- de liaison accentué et a plus ou moins abouti à des terminaisons en -erre ou –eurre dans le Nord et -oire dans le Midi. C’est dans cette série que l’on trouve le plus grand nombre de toponymes :

  • avec un hydronyme pré-celtique albius : Augers-en-Brie (S.-et-M., Albioderus vicus au VIIè siècle, la rivière est l’Aubetin, fluvius Alba au VIIè siècle ) et Aujeurres (H.-Marne, la rivière est ici l’Aujon, affluent de l’Aube) ;
  • avec le gaulois isarno, « fer » : Izernore (Ain, templi gallica lingua Isarnodori au VIIIè siècle) ;
  • avec le gaulois cando, « blanc » : Candor (Oise, Candorro en 1136) et peut-être Champdeuil (S.-et-M., Chandeur en 1262, Champdur en 1372, Champdor en 1384 et Chandeuil en 1508 quand la finale a subi l’attraction des finales en -euil) ;
  • avec le gaulois magio, « grand » : Morre (Doubs, Maiodurum en 1049) ;
  • avec le gaulois bolo, « prunelle » : Bouloire (Sarthe, Bolodro au VIIè siècle : la « forteresse des prunelliers »), Bouleurs (S.-et-M, Bolorria à la fin du VIIè siècle) et Boullarre (Oise, Boularia en 1150, avec attraction du suffixe -aria) ;

Bouloire

  • avec le gaulois briva, « pont » : Briare (Loiret), Briares-sur-Essonne (Loiret), Brieulles-sur-Bar (Ardennes), Brieulles-sur-Meuse (Meuse), Brionne (Eure) et Bruère-Allichamps (Cher), déjà vus à l’article correspondant ;
  • avec le gaulois briga, « mont » : Bridoré (I.-et-L., Brioderus vicus au IIè siècle puis Brolium Doré au XIIIè siècle) : quand le premier nom, issu de briga-ó-durum devenu *Briodr-, a été mal compris, il a été modifié en « breuil doré » ou « breuil d’un certain Doré ».
  • avec le gaulois devo, « dieu» : Divodurum au Ier siècle ap. J.-C. chez Tacite était le premier nom de Metz (Mos.) ; Jouarre (S.-et-M., Jotrum au VIIè siècle, S. Mariae Joderensis en 839), Jeurre (Jura) et Jouars-Pontchartrain (Yv.) avec passage habituel  de l’initiale di- à j- comme pour diurnus donnant « jour » ;
  • avec le gaulois epomandu, « petit cheval de trait » : Mandeure (Doubs, Epomanduodurum au IVè siècle puis Mandroda à la fin du VIIè siècle). Dès l’époque gauloise mandu était une variante par aphérèse de epomandu ;
  • avec le gaulois nemeto, « sanctuaire » : Nanterre (H.-de-S., vico Nemptudoro au VIè siècle et Nannetodorum en 1163) ;
  • avec le gaulois olca, « champ fertile » : Ocquerre (S.-et-M.) ;
  • avec le gaulois tanno, « chêne » : Tannerre-en-Puisaye (Yonne, Tannadorum, 1233) ;
  • avec le gaulois *turno, « colline » : Tonnerre (Yonne, Ternoderum à l’époque romaine quand il y avait un oppidum) ;
  • avec le latin altus, « haut » : Autoire (Lot) ;
  • avec peut-être le latin plebs, « peuple », ou un dérivé de pluvia, « pluie » pour décrire un « terrain marécageux » : Pleure (Jura) et Pleurs (Marne, Plaiotrum en 1052).

Duro en composition avec un nom de personne

Comme les autres appellatifs gaulois vus précédemment, duro a été employé avec des noms de personne gaulois mais aussi latins :

  • du gaulois *Autessios, à rapprocher d’Aduetisso : Auxerre (Yonne, Autisiodurum et Autessio Duro au IVè siècle). Une autre hypothèse fait appel à un hydronyme *Autara —attesté dans l’ancien  nom Altricus du promontoire voisin Montartre — qui serait peut-être l’ancien nom du ru de Vallan ou de l’Yonne (connue comme Icauna au Vè siècle), avec changement de suffixe pour *Aut-issia . D’autres ont vu dans ce nom un composé gaulois  au (séparation, éloignement ) – tessi (chaleur, ferveur ) –duro : un « marché peu chaleureux » …
  • du gaulois Iccius ( dérivé de *spiko, « le pic, oiseau » avec amuïssement habituel du -p- initial en gaulois) : Issoire (P.-de-D., Iciodurum au VIè siècle) ;

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  • du gaulois Itius : Izeure (C.-d’Or, Iciodoro en 763), Yzeure (Allier, Isodrus en 912) et Yzeures-sur-Creuse (I.-et-L., Iciodorum) ;
  • du gaulois Magnus : Manheulles (Meuse, Mainhodoro en 973, Manhure en 1457, Mainhael en 1642 et enfin Manheulle en 1656, avec attraction tardive des finales en -eule) ;
  • du gaulois Taros ( « celui qui traverse, qui passe » ): Tarare (Rhône, Taradrum au XIè siècle) ;
  • du romain Bellus : Ballore (S.-et-L.) et Belluire (Ch.-Mar.) ;
  • du romain Buccius ( de bucco, « le bouc »): Bouchoir (Somme) ;
  • du romain Solius : Soulaire-et-Bourg (M.-et-L.) et Soulaires (E.-et-L.) ;
  • du romain Callius ( de callio, « sabot » ) : Chilleurs-aux-Bois (Loiret) ;
  • du romain Comitem : Contoire (Somme, aujourd’hui dans Trois-Rivières).

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La devinette

Il vous faudra trouver le nom d’une montagne dont le sommet, à plus de mille mètres, a été occupé de l’âge des métaux jusqu’au Moyen Âge (comme l’ont prouvé des fouilles effectuées il y a plus de cent ans et restées, hélas!, sans suite)  et notamment pendant la période gauloise et gallo-romaine, d’où son nom composé du gaulois duro et d’un nom d’homme latin.

Dans la région où elle se situe, on désigne ce type de montagne par un mot de la langue régionale rappelant sa ressemblance avec un museau. Le nom « officiel » actuel (celui des guides et des cartes IGN) est donc le « truc-museau »  de « Toponyme à trouver ». Sur la carte de Cassini et la carte d’état-major de 1866 on utilisait un dérivé du podium latin pour nommer la montagne.

Suivant les décisions prises par la Convention le 10 brumaire de l’an II (31 octobre 1793), le déterminant du nom de la localité située au pied de la montagne a été temporairement remplacé par le nom de celle-ci.

Si le nom de cette localité, sans son déterminant, rime  avec celui de la montagne, leurs étymologies n’ont rien à voir, celui de la localité ayant trait à l’hydronymie.

Cette localité fait partie d’une longue liste écrite en 1943.

La montagne n’a pas sa page wikipedia (j’ai vérifié deux fois).

■ un double indice géographique :

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■ un indice historique :

indice a 26 07 20

 

Réponse attendue chez leveto@sfr.fr

Nemeton etc.

On a vu dans le précédent billet que Nîmes et Nemours devaient tous deux leur nom à un radical gaulois *nemo auquel on prête plusieurs sens : « bois sacré » d’où « lieu sacré, sanctuaire » ou bien « ciel, voûte céleste » ou encore « humide, eau ».

Reprenons au début :

Une pierre trouvée à Vaison-la-Romaine en 1840 et datée du IIè ou Ier siècle av. J.-C. portait l’inscription suivante :

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que l’on peut transcrire ainsi :

ΣΕΓΟΜΑΡΟΣ                                              segomaros

ΟΥΙΛΛΟΝΕΟΣ                                            ouilloneos

ΤΟΟΥΤΙΟΥΣ                                               tooutious

ΝΑΜΑΥΣΑΤΙΣ                                             namausatis

ΕΙΩPΟΥ ΒΗΑΗ-                                         eiorou   bele-

-ΣΑΜΙ ΣΟΣΙΝ                                              -sami  sosin

ΝΕΜΗΤΟΝ                                                  nemeton

que l’on s’accorde à traduire par : « Segomaros, fils de Villonos, citoyen de Nîmes, a dédié à Belisama ce lieu sacré ». Cette traduction entraîne plusieurs remarques :

  • segomaros, le nom du dédicataire, est suivi de la mention ouilloneos qu’il faut comprendre comme « fils de Villonos », formulation fréquemment rencontrée dans les épitaphes antiques, plutôt que comme « le Villonéen » pris comme une référence ethnique d’appartenance à un clan inconnu par ailleurs ;
  • on reconnaît dans tooutious le gaulois *touta/*teuta, « tribu, peuple » et dans namausatis le nom de la ville Nemausus, Nîmes : on traduit donc par « citoyen nîmois » ;
  • eiorou, bien attesté sous d’autres formes, signifie « dédier » ;
  • Belesami , nom de la déesse Belisama est bien attesté sur d’autres inscriptions  ;
  • sosin est l’ adjectif démonstratif « ce, cette » ;
  • nemeton : c’est « le sanctuaire » comme nous l’expliquait déjà  Venance Fortunat au VIè siècle à propos de Vernantes ( cf.plus bas ) dans une traduction en latin : loco nomine Vernemetis … quod quasi fanum ingens Gallica lingua refert ,« le nom de lieu Vernemetis signifie à peu près sanctuaire énorme en langue gauloise ».

L’attestation du nom de Nîmes en ΝΑΜΑΥΣΑΤΙΣ, Namausatis, que l’on voit ici a été suivie de peu par ΝΑΜΑΣΑΤ, Namasat, trouvé sur une monnaie gauloise. Ce ne sont pourtant pas ces formes, qui auraient évolué en Names ou Nâmes, qui sont à l’origine du nom de Nîmes, mais bien le nom Nεμαυσος ( Nemausos ) noté par Strabon. Quoi qu’il en soit, le radical est le même indo-européen *nam/ nem. ( cf. le billet précédent).

On peut aussi noter la référence à une citoyenneté nîmoise ce qui laisse supposer que Nemausus était déjà à cette époque une cité indépendante, détachée de la civitas des Volques arécomiques. Enfin, le fait que le texte soit écrit en gallo-grec montre bien l’influence encore importante à cette époque des Phocéens dans la Provence.

Plus que nemausus, la forme la plus prolifique en toponymie de ce mot gaulois est nemetum, «lieu sacré, sanctuaire », que l’on retrouve dans des noms aujourd’hui remplacés par d’autres.

C’est le cas d’Arras ( Pas-de-Calais ) que César appelait Nemetocenna au milieu du Ier siècle av. J.-C., composé de nemetum, donc, et du gaulois cenna, « pointe », en référence à celle formée par le confluent de la Scarpe et du Crinchon. Ce nom sera réduit chez Ptolémée au IIè siècle en Μέτακον et on trouvera Nemetacum au IIIè siècle, sur l’Itinéraire d’Antonin, avec le suffixe gaulois -aco. Ce sont finalement les Atrébates qui donneront leur nom à la cité  dès le IVè siècle : figé à l’ablatif dans Attrebatis  civitas en 674, le nom évoluera régulièrement en Arras en 1189.

C’est aussi le cas de l’ancien nom de Clermont-( Ferrand ) (Puy-de-Dôme) d’abord attesté Νεμωσσόϛ, Nemossos, chez Strabon en 7 av. J.-C. avec le suffixe méditerranéen –osso, puis Augustonemetum en 121, rappelant que la ville fut construite sous l’empereur Auguste entre 27 avant J.-C. et 14 après. On constate ici que le radical Nemos est légèrement différent de celui du dieu Nemausus éponyme de Nîmes bien qu’il s’agisse toujours d’une divinité topique à rapprocher d’autres divinités locales comme les Matris Nemetalis à Grenoble ( Isère ) ou les Nemetona en Allemagne et en Grande Bretagne. Après s’être appelée Arverni à la fin du IVè siècle du nom de la tribu des Arvernes, la ville deviendra Claremonte castro ( Chronique de Frédégaire en 768 ). Le latin clarus, « clair », a connu une évolution sémantique considérable, d’abord appliqué à la voix et aux sons, puis aux sensations visuelles, aux choses de l’esprit, etc. Il faut prendre ici le sens toponymique de l’ancien français cler, décrivant l’aspect « peu épais, serré ( d’une forêt ) » et de son dérivé clere, « clairière ». La montagne ainsi désignée était donc vide d’arbres.

Il convient d’ajouter à cette liste l’ancien nom de Spire ( Rhénanie-Palatinat en Allemagne) qui était Noviomagus nemetum soit le « nouveau marché du sanctuaire » dédié à la déesse Nemetona. C’est dans cette ville que se sont établis les Némètes après avoir traversé la Rhin. D’autres exemples existent aussi en Angleterre ( Nantwich, Cheshire, s’appelait Nametwihc en 1194, etc.),  en Espagne ( un nemetobriga, « pont du sanctuaire » a été identifié à Ourense en Galice, sur le chemin de Compostelle, etc. ) et quasiment partout où les Celtes s’étaient établis.

Les némétons celtes, construits en bois, quand ils n’ont pas été simplement détruits, ont la plupart du temps été progressivement remplacés par les fanums gallo-romains, puis par les chapelles ou églises chrétiennes, ce qui explique leur disparition dans la toponymie, même si les deux termes se chevaucheront dans le temps avant d’être balayés par l’anti paganisme.

Ce nemetum est malgré tout encore présent mais bien caché dans quelques toponymes français :

  • Senantes ( Eure-et-Loir ), attesté Senantae en 1028,  où se trouvent des vestiges d’un sanctuaire gaulois, est un ancien seno, « vieux », accompagné du pluriel de nemetum, « sanctuaire », ce qui laisse supposer qu’il y avait plusieurs sanctuaires. Au pied de la chapelle Sainte-Geneviève coule une source, la Fontaine de Coudray, objet de vénération pendant des générations et dont l’eau pure était réputée guérisseuse. La même origine explique le nom de l’homonyme Senantes dans l’Oise.
  • Vernantes ( Maine-et-L. ) est attesté Vernemeta sur une monnaie mérovingienne, pluriel du gaulois vernemeton, « grands sanctuaires », cf. la traduction du nom par Venance Fortunat donnée plus haut.
  • Arlempdes ( H.-Loire ) est à comprendre comme un are, « avant, devant »,  nemeton. Arnevieille, à Aniane dans l’Hérault, était appelée S. Maria de Arnempdis soit le même are-nemeton qui sera plus tard qualifié de « vieille ».
  • Nampont ( Somme ), noté Nempotei ( à lire Nempontei ) en 1127 est issu du même gaulois nemeton accompagné du roman pontem, « pont ». Nempont-Saint-Firmin (P.-de-C.), noté Nempons en 1095, a la même origine.
  • Nanterre ( Hauts-de-Seine ) est attestée Nemptudoro chez Grégoire de Tours en 575-94, nom composé de nemetum accompagné du gaulois duro, « place forte ».
  • Nonant ( Calvados ) et Nonant-le-Pin ( Orne ), donnés par X. Delamarre comme d’anciens *novionemeto ( novio, « nouveau » et nemeton ) mais dont nous ne connaissons pas les noms antérieurs à ceux de  1050 qui sont identiques aux noms actuels, sont peut-être tout simplement issus du nom de personne germanique Nonnan ( E. Nègre ) ou bien composés d’un nom de personne latin Nonnus accompagné du gaulois nantos, « vallée, ravin, torrent » ( Dauzat-Rostaing ).

Les Bretons ne sont pas en reste. Le même indo-européen *nem qui a donné le grec nemos et le latin nemus au sens de « bois, forêt » ainsi que le gaulois nemo de même sens avec la notion ultérieure de sacré, a donné le haut-breton nemet  au sens de « sanctuaire, temple » passé aujourd’hui à neved. On trouve ce dernier mot dans le nom du koat Neved, le « bois de Névet » à Kerlaz et à Plogonnec ( Finistère ) et dans la Grée-Nevet à Nivillac (Morbihan) où grée désigne un terrain pierreux et encre dans le nom d’un ruisseau, le Névet, qui coule dans le Finistère de Locronan à la baie de Douarnenez

Un bon exemple de l’importance des sanctuaires dans la société gauloise est donné par l’oppidum de Corrent, non loin de Clermont-Ferrand, qui aurait été la capitale des Arvernes du temps de leur indépendance.

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( voir le site officiel )

Ce n’est pas faute d’avoir cherché, mais je n’ai malheureusement trouvé aucune devinette à vous soumettre. Il se fait tard maintenant et je dois quitter mon écran…

Namaste .

PS : Lemonde.fr me prévient qu’une opération de maintenance m’empêchera d’écrire un billet et vous empêchera de commenter demain mercredi après-midi. Tout fout le camp, donc …